"Prenez l'exemple de l'étape de samedi dernier. Je gagne le sprint intermédiaire mais je laisse filer le groupe sans moi. Il y a des histoires comme cela dans chaque course." "Aujourd'hui, j'ai disputé une course intelligente. Je ne me suis énervé après aucune échappée. Cette manière de travailler m'a permis finalement de gagner. Je ne suis plus dans le coup pour la victoire finale, je le crains. Je pense que je peux plutôt gagner de nouveau une étape lors des deux prochains jours, même si je me suis approché à un peu plus de vingt secondes. Ensuite, samedi ce sera la Clasica San Sebastian suivie de l'Eneco Tour et pour le reste de la saison ce sont surtout les classiques comme Plouay, Québec et Montreal qui auront mon attention." "A propos du renvoi de John Lelangue, je vais être bref. C'est comme en football. Quand il n'y a pas de résultat, l'entraîneur est mis à la porte. Après les classiques loupées, la Tour était sans doute la goutte de trop. Mais les coureurs ne doivent pas oublier qu'ils sont en partie responsables de cette décision peu agréable." (Belga)
Tour de Wallonie - 3e étape - Greg Van Avermaet: "Il y a eu toujours eu quelque chose qui manquait"
(Belga) Greg Van Avermaet (BMC) a attendu longtemps pour fêter sa première victoire depuis son succès en 2011 dans Paris-Tours. L'attente a pris fin lundi à Bastogne à l'issue de la 3e étape du Tour de Wallonie. "Il y a toujours eu quelque chose qui manquait", expliqua l'équipier de Philippe Gilbert.
"Prenez l'exemple de l'étape de samedi dernier. Je gagne le sprint intermédiaire mais je laisse filer le groupe sans moi. Il y a des histoires comme cela dans chaque course." "Aujourd'hui, j'ai disputé une course intelligente. Je ne me suis énervé après aucune échappée. Cette manière de travailler m'a permis finalement de gagner. Je ne suis plus dans le coup pour la victoire finale, je le crains. Je pense que je peux plutôt gagner de nouveau une étape lors des deux prochains jours, même si je me suis approché à un peu plus de vingt secondes. Ensuite, samedi ce sera la Clasica San Sebastian suivie de l'Eneco Tour et pour le reste de la saison ce sont surtout les classiques comme Plouay, Québec et Montreal qui auront mon attention." "A propos du renvoi de John Lelangue, je vais être bref. C'est comme en football. Quand il n'y a pas de résultat, l'entraîneur est mis à la porte. Après les classiques loupées, la Tour était sans doute la goutte de trop. Mais les coureurs ne doivent pas oublier qu'ils sont en partie responsables de cette décision peu agréable." (Belga)