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Tour de France: c’est parti pour 3642 kilomètres

20 étapes, 9 de plaine, 6 de montagne dont 3 arrivée au sommet, et 3642 kilomètres à travers les Pays-Bas, la Belgique et la France. Le Tour commence samedi. Présentation.

Voici un bref parcours des vingt étapes du Tour de France 2010.

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Prologue. A Rotterdam (Pays-Bas), 8,9 km (contre-la-montre individuel).
A l’avantage exclusif des rouleurs puissants, le parcours propose de longues lignes droites dégagées, offrant prise au vent. Moyenne élevée en perspective.

1re étape. Rotterdam – Bruxelles, 223,5 km.
Attention: risque de bordures. En début d’étape, la route longe le littoral. La conclusion s’adresse aux sprinteurs.

2e étape. Bruxelles – Spa, 201 km.
Après la mi-course, six côtes sont à franchir, la dernière à 12 kilomètres de l’arrivée. Pour puncheurs.

3e étape. Wanze – Arenberg/Porte du Hainaut, 213 km.
Quatre secteurs pavés de Paris-Roubaix dans les 30 derniers kilomètres. L’arrivée, symbolique, est jugée devant l’ancienne fosse minière d’Arenberg.

4e étape. Cambrai – Reims, 153,5 km.
Du Nord à la Marne en passant par l’Aisne, l’étape de plaine est dessinée pour les sprinteurs. Longues lignes droites à l’approche de Reims.

5e étape. Epernay – Montargis, 187 km.
Deuxième chance en deux jours pour les sprinteurs. Les routes planes limitent les chances de réussite d’une échappée.

6e étape. Montargis – Gueugnon, 227,5 km.
Les vallonnements de la route et la distance, supérieure à 200 kilomètres, jouent en faveur d’une échappée. Final favorable à un peloton.

7e étape. Tournus – Station des Rousses, 165,5 km.
Trois cols de deuxième catégorie pour l’entrée en (moyenne) montagne. Le sommet du dernier est situé à seulement 4 kilomètres de l’arrivée.

8e étape. Station des Rousses – Morzine-Avoriaz, 189 km.
Première arrivée au sommet. Après le col de la Ramaz, pentu, la montée finale est relativement roulante (13,6 km à 6,1%).

9e étape. Morzine-Avoriaz – Saint-Jean-de-Maurienne, 204,5 km.
Colombière, Aravis et Saisies précèdent l’interminable Madeleine. Au sommet, il reste encore une longue descente et 11 kilomètres dans la vallée.

10e étape. Chambéry – Gap, 179 km.
La côte de Laffrey et le Noyer, comme pour Ocana en 1971 dans l’étape d’Orcières-Merlette. Mais la course descend cette fois vers Gap pour finir.

11e étape. Sisteron – Bourg-lès-Valence, 184,5 km.
Des sinuosités en début d’étape. Mais, dans les faux-plats descendant vers la vallée du Rhône, une échappée aura fort à faire pour résister.

12e étape. Bourg-de-Péage – Mende, 210,5 km.
Rude transition dans le Massif Central. Les routes casse-pattes d’Ardèche et de Lozère conduisent à la montée finale, où Jalabert s’était imposé en 1995.

13e étape. Rodez – Revel, 196 km.
Baroudeurs ou sprinteurs? Les deux catégories ont leurs chances sous la chaleur prévisible sur le circuit final près du lac de Saint-Ferréol.

14e étape. Revel – Ax-3 Domaines, 184,5 km.
Pailhères dresse ses 15,5 kilomètres à 7,9% avant la descente vers l’Ariège. Montée finale raide mais limitée à 7,8 kilomètres. Pour grimpeurs.

15e étape. Pamiers – Bagnères-de-Luchon, 187,5 km.
Le port de Balès, long (19,3 km), irrégulier, difficile, précède la plongée vers Luchon, une descente d’une vingtaine de kilomètres dans Peyresourde.

16e étape. Bagnères-de-Luchon – Pau, 199,5 km.
Cent ans après leur premier passage, les quatre cols historiques (Peyresourde, Aspin, Tourmalet, Aubisque) sont au programme. Loin de l’arrivée.

17e étape. Pau – Tourmalet, 174 km.
La dernière chance pour les grimpeurs passe par Marie-Blanque, Soulor et surtout le Tourmalet. Arrivée inédite au sommet du Géant des Pyrénées.

18e étape. Salies-de-Béarn – Bordeaux, 198 km.
La traversée des Landes s’offre aux baroudeurs et aux sprinteurs, malmenés les jours précédents. Parcours sans la moindre aspérité.

19e étape. Bordeaux – Pauillac, 52 km (contre-la-montre individuel).
Le seul grand contre-la-montre emprunte les routes planes des vignobles du Médoc (Cantenac, Margaux, Beychevelle, Saint-Julien, Pauillac).

20e étape. Longjumeau – Paris-Champs-Elysées, 102,5 km.
Le défilé d’approche est réduit à une cinquantaine de kilomètres. Avant les huit tours du circuit des Champs-Elysées qui fait fantasmer les sprinteurs.

Sportmagazine.be, avec Belga

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