L’arrêté royal de révocation de Didier Bellens n’est pas un faux

(Belga) La révocation de l’ancien administrateur délégué de Belgacom Didier Bellens a été décidée dans le strict respect des règles, a réagi samedi matin le ministre des Entreprises publiques Jean-Pascal Labille, rejetant les allégations des avocats de Didier Bellens, qui évoquent un faux arrêté royal.

Les avocats de Didier Bellens considèrent que l’arrêté royal du 15 novembre 2013 portant sur la révocation de l’ex-CEO de Belgacom est faux, indique samedi le quotidien L’Echo, qui se base sur la requête déposée devant le tribunal de travail. Le licenciement aurait été décidé en kern alors que l’arrêté royal stipule que la décision a été prise par le conseil des ministres au complet, selon ses avocats. Des allégations démenties samedi matin par le ministre des Entreprises publiques Jean-Pascal Labille, qui déclare dans un communiqué que la révocation de l’ancien administrateur délégué de Belgacom a été décidée « dans le strict respect des règles ». « Le 15 novembre 2013, la révocation de M. Bellens fut d’abord décidée politiquement par le Conseil des Ministres restreint avant d’être formellement adoptée au cours d’un Conseil des Ministres, réuni dans la foulée par voie électronique le même jour », précise le ministre. . (Belga)

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