Depuis plusieurs années, l'Italie souffre des abus d'une pratique légale, visant à procéder à de "faux échanges", soit des ventes croisées de joueurs entre deux clubs. Peu d'argent est alors effectivement versé par les clubs mais les éventuelles plus-values réalisées peuvent être immédiatement comptabilisées, permettant d'améliorer les performances financières.