En 2016, la FIFA est à l'agonie lorsque le Suisse Gianni Infantino en prend la présidence. Sorti de nulle part, ce dernier promet alors de faire le ménage après des décennies de corruption, de rancoeurs et d'égoïsme. Cinq ans plus tard, le Monsieur Propre de la FIFA semble pourtant maîtriser la politique de son prédécesseur. "C'est culturel. Le véritable progrès ne peut venir que de l'extérieur."
Le président de la Confédération africaine de football (CAF) Ahmad Ahmad a appelé les fédérations européennes à se prononcer en faveur du Maroc, candidat à l'organisation du Mondial-2026, dans un entretien à l'AFP diffusé lundi.
Il y a un an, Gianni Infantino avait promis de sauver le football. Au lieu de ça, le nouveau président de la FIFA se révèle être une copie de son prédécesseur.