"Je remercie aussi mon équipe parce que malgré ma mauvaise saison ils ne m'ont jamais mis de pression mais ont continué à me soutenir", a réagi le nouveau champion du monde. "J'avais trois objectifs pour 2012. Les classiques n'ont rien donné. J'avais retrouvé un bon niveau lors de la course olympique, et aujourd'hui j'étais super. Mais je n'ai pas gagné seul. Tous les coureurs de l'équipe belge ont livré un travail fantastique. Nous avons formé un bloc très solide." "Je me suis retourné à l'endroit le plus raide du Cauberg et j'ai vu un trou de dix à quinze mètres. Je n'ai pas hésité à tout donner. J'ai d'abord pris le côté gauche de la route pour être protégé, puis j'ai eu le vent dans le dos dans le dernier kilomètre. Je roulais à soixante à l'heure et savais que mes poursuivants ne pouvaient rouler plus vite pour me rattraper. C'est tout simplement énorme de gagner ici à Valkenburg. Je suis d'Aywaille, à cinquante kilomètres d'ici, et me sens comme à la maison. C'était une course sur mon Cauberg, un parcours qui me convenait. Juste énorme!" (ANA)
Philippe Gilbert: "Je n'ai pas gagné seul"
(Belga) Vingt-huit ans après Claudy Criquielion, la Wallonie détient à nouveau un champion du monde élites avec Philippe Gilbert. 'Phil' a fait honneur à son statut de favori, mais a surtout tenu à remercier l'ensemble de ses équipiers, qui ont géré à merveille l'épreuve de Valkenburg.
"Je remercie aussi mon équipe parce que malgré ma mauvaise saison ils ne m'ont jamais mis de pression mais ont continué à me soutenir", a réagi le nouveau champion du monde. "J'avais trois objectifs pour 2012. Les classiques n'ont rien donné. J'avais retrouvé un bon niveau lors de la course olympique, et aujourd'hui j'étais super. Mais je n'ai pas gagné seul. Tous les coureurs de l'équipe belge ont livré un travail fantastique. Nous avons formé un bloc très solide." "Je me suis retourné à l'endroit le plus raide du Cauberg et j'ai vu un trou de dix à quinze mètres. Je n'ai pas hésité à tout donner. J'ai d'abord pris le côté gauche de la route pour être protégé, puis j'ai eu le vent dans le dos dans le dernier kilomètre. Je roulais à soixante à l'heure et savais que mes poursuivants ne pouvaient rouler plus vite pour me rattraper. C'est tout simplement énorme de gagner ici à Valkenburg. Je suis d'Aywaille, à cinquante kilomètres d'ici, et me sens comme à la maison. C'était une course sur mon Cauberg, un parcours qui me convenait. Juste énorme!" (ANA)