WIM MENNES

Un couple tout simple pour une vie privée toute simple !

W imMennes et son amie Inge ont construit une maison lumineuse et moderne à Peer, dans le Limbourg.  » Nous sommes tous deux limbourgeois « , raconte Wim.  » Je suis de Lommel et Inge est de Maasmechelen. Nous cherchions donc à nous installer à mi-chemin entre ces deux villes. Je n’imagine pas vivre ailleurs que dans le Limbourg. Et tant pis s’il faut rouler un peu plus pour aller au club. De toute façon, Westerlo n’est pas si loin que ça non plus « .

Sans chichis, comme chez nous

La maison reflète le besoin d’espaces et de calme que Wim et Inge recherchaient. Grâce aux grandes fenêtres sur toutes les façades, le paysage s’invite dans la maison.  » Beaucoup d’air et de lumière « , dit Wim. C’est surtout Inge qui s’occupe de l’agencement. Wim se limite à user de son droit de veto.  » Attention : si nous allons acheter quelque chose, je l’accompagne « , dit-il.  » Et si quelque chose ne me plaît vraiment pas, je le dis. Mais c’est souvent Inge qui a des idées « . Celle-ci s’explique :  » J’ai volontairement conservé une certaine sobriété à l’intérieur. Beaucoup de couleurs douces, comme le gris et l’écru. Pas trop de chichis, cela nous correspond « .

Ce qui ne veut pas dire que la maison manque de fantaisie. Entre le living et la cuisine, par exemple, une série de larges colonnes et d’espaces créent un contraste dans la luminosité.

Couleurs vives

Un coin de la maison saute littéralement aux yeux tant ses couleurs vives contrastent avec les teintes douces du bâtiment : c’est le coin des enfants. Partout, on y retrouve des jouets et des peluches.  » Pendant la journée, Seb et Lotte y font ce qu’ils veulent « , dit Wim.  » J’estime qu’il faut laisser un peu de liberté aux enfants. Le soir, nous rangeons tous ensemble. Ils apportent tellement de vie à la maison ! Rien n’est comparable à une maison pleine d’enfants. Je suis issu d’une famille de six : j’ai deux frères et trois s£urs. Nous ne nous limiterons d’ailleurs sans doute pas à deux. Nous aimerions un troisième enfant. Et, qui sait, un quatrième « …

Jardinage

Lorsque nous évoquons les qualités de jardinier de Wim, une discussion éclate.  » En théorie, le jardinage est un de mes hobbies « , dit-il prudemment.  » Mais en pratique, je ne m’y tiens pas très souvent.  » Entretenir huit ares de terrain n’est évidemment pas une mince affaire.  » Nous souhaitons faire aménager le jardin cette année car, actuellement, ce n’est qu’une grande pelouse. Nous avons fait appel à un architecte de jardins. Après, ce sera à moi de faire fonctionner mes doigts verts « .

Cuisine créative

La cuisine, c’est le domaine d’Inge.  » J’aime cuisiner, c’est vrai « , dit-elle.  » Et je n’hésite pas à faire des expériences. Je prends des recettes un peu partout : dans des bouquins de cuisine, dans Flair,… Je m’inspire aussi de programmes télévisés. J’essaye de piquer des idées un peu partout mais j’apporte des variations aux recettes. C’est parfois nécessaire parce qu’on n’a pas tout ce qu’il faut à la maison ou parce que certains ingrédients sont difficiles à trouver. Notre plat préféré, ce sont les pâtes. Sous toutes leurs formes « . En bons sportifs, les Mennes mangent sainement, même si ce n’est pas spécialement dû au football.  » J’ai toujours opté pour une cuisine saine « , dit Inge.  » Même si Wim ne jouait pas au football, j’utiliserais de l’huile d’olive et de la minarine. Nous n’aimons pas non plus les friandises. Nous n’avons donc guère de mérite « .

Limbourg, paradis des cyclistes

 » Quand nous le pouvons, nous faisons une balade à vélo « , dit Wim.  » Le Limbourg mérite vraiment sa réputation de paradis des cyclistes. Ici, c’est formidable. Ça regorge d’itinéraires aménagés pour les vélos. Les enfants nous accompagnent souvent et il n’est évidemment plus possible de faire de longues distances. La plupart du temps, nous nous limitons à une vingtaine de kilomètres mais il nous est déjà arrivé d’aller jusqu’à chez mes parents, ce qui faisait 50 kilomè-tres aller-retour « .

Prairies

 » Lorsque nous avons vu ce terrain à bâtir, nous avons eu le coup de foudre « , dit Inge.  » Il fait environ huit ares. Nous voulions de l’espace « . Wim acquiesce :  » Nous sommes entourés de verdure, de champs. La vue est dégagée et c’était important pour moi car j’ai besoin d’espaces. Cela me procure un sentiment de liberté et la vue sur ces prairies m’apaise. Nous ne pourrions pas vivre dans l’agitation de la ville « .

ILKA DE BISSCHOP

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire