Logan Bailly (Genk) :  » On m’a déjà critiqué sur l’aspect spectaculaire de mon jeu, que j’en faisais trop. J’accepte, mais quand vous avez toutes les semaines 24.000 personnes qui viennent remplir les tribunes et qui paient très cher leur place, il faut leur donner du plaisir. (…) Le gouden stud ? C’était bon pour une fois. Maintenant, je laisse ce trophée aux jeunes « . (Sport/Foot Magazine)

Marouane Fellaini(Standard) :  » C’était mon idée de forcer les choses en utilisant la loi de 1978 car je ne recevais pas ce que je méritais au Standard. Je suis resté, c’est ce que je voulais et l’intérêt d’un club comme Manchester United n’y change rien « . (Het Laatste Nieuws)

Nicolas Frutos (Anderlecht) :  » Si on parvient à limiter la casse jusqu’à Noël, voire à revenir quelque peu sur les Rouches, on devrait pouvoir une fois de plus faire la différence au deuxième tour après un bon stage hivernal. Je pense aussi que les matches de Coupe de l’UEFA qui nous attendent nous pousseront à élever notre niveau et nous aideront pour le championnat. J’ai contribué aux deux derniers titres d’Anderlecht. J’espère lui en offrir un troisième en mai prochain « . (Vers l’Avenir)

 » J’ai joue une demi-saison sur une jambe. J’ai mis mon avenir en jeu pour Anderlecht « . (Het Laatste Nieuws).

Milan Jovanovic (Standard) :  » Je suis heureux d’être resté au Standard même si j’ai eu des offres tous les jours. Cette année, nous irons loin. Le Standard a d’énormes arguments en pointe. Je ne comprends pas pourquoi Anderlecht a laissé filer un attaquant aussi doué que Dieumerci Mbokani : c’est une gaffe « . (Sport/Foot Magazine)

 » Je suis le premier fan de Sergio Conceiçao. A Bruges, la saison passée, il y avait un problème sur le terrain. On règle normalement cela dans le vestiaire. Là, Sergio a choisi un autre dialogue. Je respectais son point de vue mais je n’avais pas à m’écraser. Si je l’avais fait, quel homme serais-je ? Non, non, je ne pouvais pas me laisser faire. Cinq minutes plus tard, j’avais oublié et nous nous sommes serrés la main après le match « . (Sport-Foot Magazine).

Benjamin Nicaise (Mons) :  » Je peux te faire une soupe pendant trois heures avec des banalités. Tu auras le même article que celui de la semaine passée ou celle d’avant. Un discours bien huilé et formaté qui n’intéresse personne « . (Sport/Foot Magazine)

 » Dans le foot, il y a deux catégories de joueurs. Ceux qui encaissent les coups et ceux qui en donnent. Moi, j’en donne.  » (Le Soir).

Oguchi Onyewu (Standard) :  » Je crois, en toute modestie, que je suis naturellement taillé pour le football anglais. Là, le football prend une dimension beaucoup plus physique. Je ne regrette pas d’avoir opté pour Newcastle alors que j’aurais pu me rendre à Marseille. Je n’ai qu’une obsession : franchir à nouveau le Channel « . (Le Soir)

 » Boskamp ne m’a pas accroché au portemanteau : vous m’avez bien regardé ? A part mon père, je ne permettrais à personne de lever le petit doigt sur moi « . (Sport/Foot Magazine).

Wesley Sonck (Club Bruges) :  » Je n’ai jamais été un garçon difficile. Les gens ne me connaissent pas. A l’avenir, j’aimerais qu’on ne juge uniquement pour mes prestations sur le terrain. En venant à Bruges, j’ai fait une bonne affaire, mon nouveau club aussi « . (Het Belang van Limburg)

 » Je vais réussir à Amsterdam. Le prestige d’Anderlecht n’est rien à côté de celui de l’Ajax « . (La Gazette des Sports).

François Sterchele (Club Bruges) :  » La mentalité flamande me plaît. En Wallonie, les joueurs se donnent à 100 % pour gagner. Dans le nord du pays, c’est du 200 % « . (Sport/Foot Magazine)

Stijn Stijnen (Club Bruges) :  » Comment empêcher Cristiano Ronaldo de marquer ? Il faut le casser après 10 minutes pour qu’il sorte du terrain sur une civière « . (Gazet van Antwerpen).

Frederik Vanderbiest (Roulers) :  » Bah… Olivier Deschacht passe sa vie à se plaindre. C’est un fils à papa « . (Het Laatste Nieuws)

 » Au RWDM, j’avais été jugé trop court pour la D1. Personne n’a jamais osé me le dire en face. Ce club a joué avec mes pieds « . ( (La Gazette des Sports).

Olivier Deschacht (Anderlecht) :  » Si je suis un fils à papa c’est parce que, comme lui, quand je fais quelque chose, c’est toujours à fond. Je ne me laisse pas vivre « . (Sport-Foot Magazine).

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