Stéphane Demol (PAS Gianinna)

Entraîneur fan du vieux cinéma français.

par simon barzyczak

Quel livre emporterais-tu sur une île déserte ?

Le rouge et le noir de Stendhal. Je l’ai commencé il y a vingt ans… et je ne l’ai jamais fini !

Quelle était la danse d’ouverture de ton mariage ?

Vita de Lucio Dalla et Gianni Morandi. A l’époque, je jouais à Bologne.

Une chanson qui t’a déjà donné les larmes aux yeux ?

My way de Frank Sinatra.

Quelle personnalité médiatique voudrais-tu interviewer ?

Fidel Castro ou Mikhaïl Gorbatchev. Qu’est-ce qui les a poussés vers ce destin ? En rêvaient-ils depuis leur enfance ? Ou bien est-ce le fruit d’un déclic ?

Sur le net, quels sont tes sites de référence ?

A l’étranger, je suis l’actu belge via redactie.be et dhnet.be. Je garde aussi le contact avec ma commune de Beersel via une newsletter quotidienne.

La question de journaliste qui t’énerve ?

Je ne demande jamais à relire une interview mais je me fâche quand un journaliste détourne mes propos. J’accorde ma confiance une fois, pas deux. Et quand je suis trahi, je ne sais pas pardonner.

Les gens disent que tu ressembles à ?

Chez les moins de 15 ans d’Anderlecht, Pierre Hanon, le meilleur entraîneur que j’ai connu, m’appelait Bruno Pezzey, du nom du grand libéro autrichien. J’avais la même coupe de cheveux et la même position.

Un artiste un peu vieillot que tu n’as pas honte d’écouter ?

Plus jeune, j’adorais la musique noire d’Earth wind and fire, Kool and the gang, Michael Jackson. Quand je dois accomplir de longs trajets, j’aime entendre Gilbert Bécaud, Jacques Brel, Frank Sinatra, des chansons italiennes,…

Un film qui t’a arraché une larme ?

Gandhi, un vieux film de presque 30 ans et que j’avais vu au cinéma avec mon père.

Qu’est-ce que ta femme te force à regarder ?

Nous ne sommes jamais ensemble car nous avons sept télés à la maison : une dans les cinq chambres, une dans le living et une dernière dans la véranda !

Un film un peu vieillot que tu n’as pas honte de regarder ?

Dernièrement, j’ai revu des sketches de Laurel et Hardy ou de Charlie Chaplin. Je suis aussi un inconditionnel du vieux cinéma français : Jean Rochefort, Jean Carmet, Fernandel, Bourvil,… Aujourd’hui, je m’adapte au nouvel humour, je suis même allé voir Brice de Nice avec mon fils !

Avec quelle actrice voudrais-tu tourner un film ?

Sophie Marceau. J’en suis fan depuis vingt ans. Elle a bien vieilli. Moi je ne sais pas (il rit).

Ton interview la plus étrange ?

Il y a quelques années, quand j’étais encore mince, j’ai joué une ou deux fois le mannequin pour des photos de mode.

La dernière fois que tu t’es endormi devant la télé ?

Devant du mauvais foot (il rit). Le soir, s’il le faut, je zappe pendant deux heures avant de trouver un programme intéressant. En Grèce, je regarde souvent les documentaires de TV5. On capte aussi les matches du vendredi et du dimanche soir de la Pro League.

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