MESSI PUISSANCE 4?

Les consultants et journalistes de Proximus TV se sont penchés sur les futures oppositions entre les huit derniers cadors du foot européen.

Atletico – Real Madrid

Teklak : L’Atletico est la bête noire du Real, qui a perdu quatre fois de suite, et n’a plus gagné lors des six derniers derbies. La dernière confrontation a même tourné à l’humiliation pour Ronaldo et sa bande : 4-0 à Vicente Calderon.

Ferrera : A l’Atletico, il y a beaucoup plus de rage et de hargne que du côté du Real.

Thans : Le Real a perdu de sa superbe dès l’instant où il a dû se passer de James Rodriguez et Luka Modric. Sans compter qu’une grande équipe s’appuie toujours sur un grand gardien. Or, Casillas n’est plus ce qu’il a été.

Chatelle : Je n’aurais jamais cru que cette période de doute durerait aussi longtemps. Là, ça prend quand même des proportions énormes. C’est étonnant. C’est surtout au niveau du milieu de terrain que ça se joue. Les avants ne reçoivent plus les ballons qu’ils avaient en début de saison, ils n’utilisent plus les espaces non plus comme durant cette période.

Ciuro : Modric, c’est le métronome. Le gars qui sait quand il faut accélérer ou temporiser. Isco, c’est pas du tout la même chose.

Thans : Pour moi, l’Atletico donne non seulement la leçon à son rival sur le terrain mais aussi sur le plan des transferts. Chaque année, cette équipe-là se fait déposséder de l’un ou l’autre crack. Quand Sergio Agüero est parti, la direction a trouvé la parade avec Radamel Falcao. Après le Colombien, c’est Diego Costa qui a fait la pluie et, surtout, le beau temps. A présent, c’est Mario Mandzukic qui a pris le relais. Sans oublier que les Colchoneros ont tapé dans le mille aussi avec Antoine Griezmann. Franchement, les recruteurs de ce club ont toujours le nez creux dès qu’il s’agit de trouver un remplaçant idéal.

Teklak : Faudra quand même m’expliquer l’embrigadement de Torres.

Thans : Je pense que d’autres considérations ont joué dans ce retour. Le merchandising par exemple.

Delire : Reste à voir aussi si l’Atletico d’aujourd’hui est taillé sur mesure pour un attaquant élégant comme lui. Car il paraît réellement l’exception dans cette équipe qui ne cesse d’aller au charbon. Honnêtement, les Colchoneros sont parfois chiants à voir jouer. D’ailleurs, pour le même prix, ils sont dehors face à Leverkusen. J’ai rarement vu un match aussi rébarbatif.

Thans : Dans cette formation, plus que dans n’importe quelle autre, tu reconnais tout de même la griffe de l’entraîneur. Quand tu vois jouer l’Atletico, tu te retrouves à l’époque où Diego Simeone était lui-même joueur.

Teklak : Marc a raison. Cette saison, c’est pas toujours folichon alors que l’année dernière, il y avait parfois des séquences de très bon football.

Ciuro : Ils pouvaient peut-être se permettre davantage que le réalisme à outrance parce que, d’un côté, ils avaient un formidable buteur en la personne de Costa et que derrière, ils avaient un gardien qui arrêtait tout : Thibaut Courtois.

Thans : C’était la meilleure défense d’Europe. Et Costa est le type d’attaquant qui peut te faire gagner un match sans que tu joues nécessairement bien.

Chatelle : Mario Mandzukic, c’est un ton en dessous.

Thans : N’empêche, son association avec Antoine Griezmann porte ses fruits. Mais je ne vois pas l’Atletico passer.

Teklak : Je suis sceptique. Pour moi, c’est du 50-50.

Chatelle : A mon avis, c’est du 60-40 en faveur du Real qui a récupéré Sergio Ramos et Luka Modric entre-temps. A Barcelone, malgré la défaite, c’était déjà un autre Real. D’ailleurs, personne n’aurait crié au scandale s’il avait ouvert la marque au Camp Nou ce soir-là. Car ses 20 premières minutes étaient extra. Le Barça était vraiment secoué à ce moment-là.

Delire : D’ordinaire, les joueurs de l’Atletico sont déjà des chiens, avec tout leur mordant, sur le terrain. Face au Real, ces gars-là n’auront pas faim mais carrément la rage.

Ciuro : T’as parfois l’impression que Diego Simeone les prive de ballon pendant une semaine et qu’il le lâche le jour J pour mettre ses joueurs en appétit.

Teklak : Ce qui me surprend, chez Simeone et ses joueurs, c’est la longueur, les résultats sur la durée. Car un coach pareil, qui ne relâche jamais son étreinte, c’est éreintant. Et c’est pas près de se terminer puisqu’il a signé jusqu’en 2020. Ceci dit, quel autre entraîneur peut à ce point s’identifier à ce club et à son public ? Personne. Simeone, c’était déjà la personnification de l’Atletico quand il en était joueur. Et il reste sa personnification comme entraîneur.

Thans : Et il choisit les joueurs qui cadrent dans cette philosophie. Toi, Alex, t’aurais pu jouer là-bas par exemple (il rit).

Teklak : J’aurais aimé travailler avec un gars pareil dans ma carrière qui te défend toujours à 100 % et qui conteste toutes les décisions arbitrales en ta défaveur. Un mec pareil, ça te stimule comme nul autre. Moi, je comprends que ses joueurs aillent au feu pour lui.

Delire : Avoir la grinta, c’est bien. Mais ce ne sera pas suffisant face au Real. On entre dans le money-time et certains vont se réveiller, j’en suis sûr. Ronaldo, par exemple. Il a mis du temps à digérer son Ballon d’Or mais il revient dans le coup à présent.

Ciuro : Ce que j’aime pas, chez lui, c’est son attitude vis-à-vis de ses partenaires. C’est hallucinant. A croire qu’il n’y a que lui qui compte.

Ferrera : Quand il n’a rien à voir dans un but, il ne va jamais courir vers celui qui donne l’assist ou le marqueur lui-même. C’est comme si ce goal-là, n’avait jamais eu lieu.

Thans : Pourtant, quelques-uns de ses coéquipiers ne manquent pas de mérite. Celui qui a bien évolué, c’est Karim Benzema. Il est libéré du poids que constituait Gonzalo Higuain. De plus, il joue toujours à fond la carte de Ronaldo, ce qui est moins le cas chez Gareth Bale. Vous avez vu son caviar, cette talonnade pour Ronaldo sur le but égalisateur au Camp Nou ? C’était du grand art.

PSG-Barcelone

Teklak : Les deux équipes se sont déjà mesurées au stade des poules, mais elles ont évolué depuis lors. Le PSG a progressé, c’est indéniable. Mais Barcelone aussi. Avec, comme cerise sur le gâteau, un Messi totalement retrouvé.

Thans : Il fait à nouveau songer au gamin émerveillé qu’il était sous Pep Guardiola.

Teklak : Avec Pep, tout le système était axé sur Messi. Le Catalan avait fait fort en optant pour un jeu sans centre-avant. Avec Gerardo Martino, la procédure n’était pas la même. Il y a eu des tâtonnements tout au long de la saison et Messi en a pâti. Cette année, avec l’arrivée de Luis Enrique, d’autres accents ont été placés, avec plus de verticalité notamment. A un moment donné, on a pu craindre que ça coince à nouveau mais Messi a retrouvé toute sa superbe. Il est peut-être moins au ballon qu’avant, quand tout passait par ses pieds. Mais à présent, il est dans la fulgurance, il gicle. Et c’est à nouveau mortel.

Thans : Le jeu en triangle du Barça, avec Xavi, Iniesta et Busquets à la manoeuvre, a fait place à un jeu beaucoup plus direct. Cette nouvelle donne a, évidemment, fait une victime de marque : Xavi. Et, dans une moindre mesure, Iniesta, qui se cherche toujours. Un jeu plus direct s’imposait. Et Enrique l’a mis progressivement au point. S’il y a un joueur qui me plaît dans cet entrejeu new look, c’est Ivan Rakitic. Il est le prototype du joueur polyvalent : il peut jouer long et court, il se démène corps et âme pendant 90 minutes, il se charge des phases arrêtées, il contrôle les opérations puis se mue en infiltreur.

Ferrera : Reste que le milieu de terrain, véritable cerveau de l’équipe sous Guardiola, a moins d’importance aujourd’hui. On alerte beaucoup plus rapidement le trio d’attaque à présent.

Teklak : Par rapport à l’année passée, le Barça a retrouvé une assise défensive aussi. Gérard Piqué est à nouveau fiable et, à ses côtés, Jérémy Mathieu est une révélation.

Delire : Dommage qu’à ce stade, ils tombent contre le PSG. Non seulement parce qu’il s’agit d’un remake, la même année, mais aussi parce que j’aimerais que les Parisiens et, surtout, Laurent Blanc, poursuivent l’aventure. J’avoue avoir un faible pour Lolo. Car voilà un gars qui n’était que le nième choix pour coacher les Parisiens et qu’on attend sempiternellement au tournant. J’ai beaucoup plus d’admiration pour le travail que Blanc accomplit à Paris que pour ce que Mourinho est en train de faire à Chelsea. Ça, c’est la honte. C’est la négation du football. Et quand il dit que ses joueurs n’ont pas su gérer leur supériorité numérique suite à l’exclusion d’Ibra, c’est du foutage de gueule. Quel connard ! Blanc, lui, incarne réellement des valeurs qui me plaisent. C’est un gars authentique.

Chatelle : Lors du retour à Chelsea, c’est la première fois que j’ai vu une équipe du PSG ayant vraiment une âme. Et ça, sans Zlatan Ibrahimovic. C’était extra.

Teklak : Tu ne crois pas qu’il y avait un lien de cause à effet ? Car lui, dès qu’il s’agit de défendre, c’est un poids mort. A la limite, tu sais mieux ce que tu dois faire sans lui qu’avec lui sur le terrain. C’est difficile de trouver un équilibre quand tu dois composer avec un gars pareil.

Thans : Dans le cadre de la licence pro, Thierry Siquet et moi avons eu l’occasion de passer 5 jours avec Blanc. Ce qui nous avait frappés, c’est que la plupart du temps il observait ses joueurs sans intervenir. A un moment donné, Thierry lui a posé la question  » Mais vous ne donnez pas entraînement ?  » Et l’autre lui a répondu :  » Non, si je suis tous les jours sur le terrain, je perds de l’autorité. C’est pour ça que je préfère me manifester par à-coups. C’est plus percutant. Si je me mêle constamment à eux, je deviens trop proche. Or, pour garder la mainmise, il faut qu’il y ait toujours ce recul. Car au fond de moi-même, je suis un gentil, un trop gentil.  » Le rôle de pit-bull, il le laisse à son adjoint, Jean-Louis Gasset.

Chatelle : C’est vrai que t’as pas intérêt à être trop docile quand tu dois gérer des stars.

Teklak : Ce que j’ai particulièrement apprécié, au retour, c’est la prestation 5 étoiles du duo David Luiz-Thiago Silva.

Ciuro : Toutes les stars de l’équipe ont mis leur bleu de travail à cette occasion. Il y avait une osmose.

Delire : Mais sera-ce suffisant face au Barça ? J’ai mes doutes. La clé sera de bloquer Messi, Suarez et Neymar. Mais comment procéder ?

Chatelle : Pour moi, le PSG a plus de chance que l’Atletico face au Real.

Ciuro : Non, le Barça actuel est intouchable pour ce PSG-là.

Teklak : Si t’es décisif dans les gros matches, toute l’équipe va se mettre à ton service. C’est le cas de Messi au Barça. Mais Ibra est-il au-dessus de la mêlée dans ces contextes-là ? Claquer 3 buts contre Lorient, ça ne suffit pas. Il faut pouvoir également se sublimer en d’autres circonstances, quand toute la planète a les yeux rivés sur toi. Et puis, il campe moins devant qu’avant. Il veut participer à l’élaboration, ce qui est de bonne guerre. Mais quand il perd le ballon, bonjour les dégâts. Car il ne fait jamais l’effort pour réparer son erreur.

Ciuro : Il y a un joueur dont on parle peu, c’est Lucas. S’il revient en forme au bon moment, il peut être une arme redoutable aussi. Sans oublier Pastore.

Teklak : La grande classe. Magnifique à voir jouer. C’est un génie du foot. Il a un toucher de ballon sans pareil.

Delire : Exact. T’as l’impression qu’il se promène, tant il est élégant. Il allie beauté et efficacité. A Chelsea, il était magnifique. Mais au Barça t’as un gars qui est encore plus magique : Messi. La devise du Barça, ce n’est plus : Més que un club mais Messi que un club, comme l’a titré un jour un quotidien sportif catalan. Avant, tu voyais Messi de la 1re à la 90e minute avec des moments de grande envolée et des passes un peu moindres. Maintenant, il est excellentissime sur des éclairs. C’est le Messi du Ballon d’Or. C’est à nouveau un plaisir de le voir jouer. Il redevient le joueur au-dessus du lot qu’il était avec Guardiola. Moi, il me fait penser au Diego Maradona de la Coupe du Monde 1986. Un gars qui fait gagner n’importe quelle équipe à lui seul.

Thans : Il me semble aussi plus affûté que sous Tata Martino. Il a perdu 4 ou 5 kilos. Il vole à nouveau sur le terrain.

Teklak : Avec Neymar, le Barça a trouvé son nouveau Ronaldinho. Il fait des gestes incroyables. Contre la France, en amical, il a encore réalisé un truc impossible. D’accord, il perd encore pas mal de ballons. Mais il exécute ses gestes à un endroit où il peut les perdre. Et quand ça réussit, c’est magique. Et puis, il a beaucoup plus de jeu sans ballon que Ronaldinho autrefois.

Thans : Mine de rien, le Barça s’appuie sur trois Sud-Américains devant. Je suis persuadé que ça joue. Ils ont beau être originaires de trois pays différents, tu sens une complicité.

Chatelle : D’autant plus importante que deux d’entre eux jouent la carte de Messi.

Ciuro : Sinon, ils ne survivraient pas. La seule chose qui reste un point d’interrogation, à mes yeux, c’est ce qui s’est réellement passé entre Messi, Enrique et la direction. A un moment donné, les relations étaient tendues entre le joueur et l’entraîneur. Ce dernier avait d’ailleurs voulu montrer qu’il ne s’en laissait pas conter en mettant la star sur le banc. Personnellement, je ne vois pas Messi obtenir son bon de sortie, comme certains le soutiennent. Je crois plutôt que l’expérience Luis Enrique ne sera pas prolongée.

Teklak : Je n’ai pas cette impression non plus. Entre l’entraîneur et la vedette de l’équipe, on dirait une relation d’amour-haine. C’est conflictuel, je ne pense pas que ça puisse durer.

Juventus-Monaco

Thans : C’est déséquilibré même s’il faut souhaiter que le petit l’emporte face au grand et que Yannick Ferreira Carrasco prolonge son aventure dans cette compétition. C’est un petit qui ose tout, qui n’a peur de rien.

Teklak : Je trouve que parfois il exagère un peu. Il doit davantage choisir ses moments.

Ciuro : C’est son jeu. Il le dit très bien : Il peut rater 100 fois un dribble, ça ne le décontenance pas. Un mec de 20 ans qui a autant de personnalité, c’est à souligner.

Teklak : Monaco n’est pas une équipe qui joue. Elle réagit, plus qu’elle n’agit. Mais c’est son droit et aussi sa raison d’être, vu le profil des joueurs qui la composent. On a dit de son entraîneur, Jardim, qu’il était le pendant de Mourinho mais je ne suis pas d’accord. Jardim a vraiment mis une tactique au point sur base des qualités de son groupe. Le Special One, lui, défend contre vents et marées car c’est sa philosophie. Il a les armes offensives mais ne les utilise pas.

Chatelle : Je pense qu’en éliminant Arsenal, Monaco a déjà réussi au-delà des espérances. Face à la Juve, ce sera toutefois autre chose. Avec les Italiens, il ne faut pas s’attendre à la même naïveté. J’ai vu les bianconeri à l’oeuvre à Dortmund et ils étaient très impressionnants. Avec un Alvaro Morata notamment qui prend de plus en plus de place.

Teklak : Ce qui est sidérant, avec la Juve, c’est leur faculté d’adaptation et de transformation. Ils peuvent jouer à trois ou à quatre derrière, avec un losange ou à plat dans l’entrejeu et ce, sans la moindre baisse de régime. C’est la seule équipe qui affiche cette maîtrise-là en Ligue des Champions.

Ciuro : C’est la seule équipe européenne qui arrive à maîtriser à la perfection deux systèmes.

Teklak : Massimiliano Allegri s’est aussi adapté à ses joueurs en mettant en place un losange dans l’entrejeu pour faire jouer Marchisio, Pirlo, Pogba et Vidal.

Ferrera : Le joueur qui m’impressionne le plus, c’est Lichsteiner. Il court un marathon à chaque match. Et que dire d’Asamoah, classe aussi. Et devant, l’association Carlos Tevez-Alvaro Morata fait des flammes. Le coach a réalisé du beau travail là-bas.

Ciuro : L’absence de Pogba est extrêmement pénalisante : c’est le milieu de terrain moderne par excellence, le joueur qui sait absolument tout faire. Mais bon, je pense que Monaco a atteint son sommet en Ligue des Champions.

Porto-Bayern

Teklak : Je pense que ce quart de finale est encore plus déséquilibré que le Juve-Monaco.

Ciuro : Le Bayern a montré quand même quelques failles.

Teklak : Oui, même si le problème d’une équipe comme Porto, c’est qu’elle veut avoir le contrôle du match mais que face au Bayern, c’est impossible.

Chatelle : Porto est une formation typique pour gagner l’Europa League mais trop courte pour la Ligue des Champions.

Teklak : Le trio au milieu de terrain, c’est quand même quelque chose : Neves, Casemiro et Torres. Ce sont tous les trois de super joueurs.

Ciuro : La grosse tuile, c’est l’absence de Jackson Martinez pour blessure.

Teklak : La vraie faille du Bayern, ça reste la transition quand ils subissent une contre-attaque.

Ferrera : Sur certains matches, c’est une vraie catastrophe, comme lors de la défaite à Wolfsbourg en janvier.

Chatelle : Ce fut déjà le problème l’an dernier lors de leur élimination face au Real.

Ferrera : Je pense qu’il y a moyen d’être tout aussi bon en étant un peu plus défensif. Mais bon, collectivement, ça part de tous les côtés.

Ciuro : Quand tu vois qu’Alaba est un des meilleurs à chaque match, ça en dit long sur la force de cette équipe.

Thans : Mais Ribéry et Robben sont difficilement remplaçables, à l’inverse des autres postes où on trouve une solution sans trop de problèmes.

Ferrera : Oui, mais même si Guardiola devait être privé de ces deux joueurs, je suis sûr que le Bayern écarterait un maximum le jeu pour faire surgir le danger de l’intérieur avec Müller, Götze et Schweinsteiger. Il y a tellement de possibilités… ?

 » C’est difficile de trouver un équilibre quand tu dois composer avec Ibrahimovic.  » Alex Teklak

 » La devise du Barça, ce n’est plus : Més que un club mais Messi que un club.  » Marc Delire

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire