© BELGAIMAGE

MAZZÙ, LES EFFORTS ET LA VIDÉO

Il y a une grande culture de l’effort, dans cette équipe de Charleroi.

AMARA BABY : Oui, parce qu’on sait bien que si on ne fait pas les efforts, on peut vite tomber de haut. Donc, on court jusqu’à la dernière minute, on ne s’arrête jamais.

Felice Mazzù vous encourage beaucoup dans cette voie ?

BABY : Oui, on doit faire les efforts. En plus, si on ne les fait pas, il y a la vidéo. Et là, on voiiiiit (il rit). Direct. Tout le monde court, on aime ça. Je crois que c’est pour ça qu’on a de bons résultats. Même si physiquement, c’est dur.

On dirait que tu trouves toujours que tu dois trop courir, et pourtant tu arrives encore à sprinter après la 85e minute.

BABY : Je trouve mon rythme comme ça. Quand je suis fatigué, je sais que je peux récupérer, repartir et enchaîner ces efforts tout le match.

Et quand tu es fatigué, il y a Nurio.

BABY : Nurio… Il court tout le temps. Il accélère, il passe devant moi sans lever la tête, je sens que du vent passer (il éclate de rire).

Votre côté gauche, il est vraiment plus surveillé maintenant ?

BABY : J’ai commencé à le ressentir contre le Standard. Là, c’est vraiment devenu chaud. C’était physique, leurs récupérateurs venaient nous mettre des tampons. C’est là que j’ai compris qu’on faisait attention à notre flanc gauche.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire