Lecomte est bon ! – Rentrée réussie pour Studio 1

C’était la rentrée des classes pour les joyeux compères de Studio 1, lundi dernier. Et le mot joyeux est particulièrement adéquat pour décrire l’ambiance au maquillage ! Benoît Thans nous gratifiait d’ailleurs d’imitations stupéfiantes de vérité de Johan Boskamp et de Jan Ceulemans sous les regards goguenards d’ Alexandre Charlier et David Steegen

Alors que les discussions allaient bon train, Michel Lecomte nous expliquait les aménagements pour cette nouvelle saison : fini le Club des Supporters, la rubrique n’a manifestement pas convaincu ! Terminé également la séquence au salon de Benjamin Deceuninck qui se retrouve désormais perché sur un balcon surplombant le plateau. L’interactivité est renforcée avec les mails et les SMS en temps réel (ou presque) des téléspectateurs auxquels l’équipe est invitée à réagir. Côté public, si la priorité est donnée aux clubs, Monsieur Tout-le-Monde peut maintenant aussi en faire partie en s’inscrivant préalablement. On notera aussi la présence d’ Alain Ronse, le journaliste du Laatste Nieuws, habitué de l’émission, qui venait saluer ses petits camarades.

Pendant ces retrouvailles, Steven Defour est arrivé. Le tout jeune capitaine du Standard arbore un t-shirt presque aussi voyant que celui de Stéphane Pauwels, le spécialiste maison. Outre l’actu, un large chapitre était consacré à la décision de M. Bourdouxhe d’arrêter le match à Charleroi. Le soutien était manifeste et même, parfois, teinté d’admiration.

Chacun reprenait ainsi son rôle sous la baguette de Maître Lecomte qui faisait les gros yeux au turbulent Pauwels à plus d’une reprise. Et puis arriva la surprise. Les femmes dans le milieu du foot sont une denrée rare et Julie Taddeï, administratrice de l’Olympic de Charleroi, faisait son entrée pour débattre du problème de terrain que connaissent les Dogues. Intelligence, finesse et grande connaissance du foot belge et étranger (son fils évolue à l’Olympiacos), cette dame en laissa plus d’un pantois.

Mis à part le GSM d’un spectateur qui envoyait régulièrement un bip, les signes fréquents d’un autre et, hors caméra, les allées et venues des gamins pour aller aux toilettes (le régisseur s’en arrache encore les cheveux…), l’émission se déroula sans accroc. Le système est rodé, les joueurs se connaissent et les automatismes bien en place.

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