Joueurs étrangers
Pelé (Santos): El Rey (le Roi). Le plus grand de tous.
Johan Cruijff (Ajax, Barcelone): le Hollandais volant. Il n’avait pas son pareil pour échapper aux tackles assassins.
Diego Maradona (Boca Juniors, Barcelone, Naples): El Pibe de Oro (le Gosse en Or). C’était avant qu’il ne sombre dans la drogue.
Zico (Flamengo, Udinese): le Pelé blanc. Un sobriquet qui fut d’application aussi à Cruijff et à Paul Van Himst!
Alfredo Di Stefano (Real Madrid): Le Divin chauve ou la Flèche blonde. En raison de son crâne dégarni et de sa vitesse d’exécution.
Ferenc Puskas (Real Madrid): le Major galopant. Une référence au grade de major que le meilleur footballeur hongrois de tous les temps occupait dans l’armée avant son transfert au Real Madrid.
Stanley Matthews (Blackpool): le Magicien. Avec le Brésilien Garrincha (lui-même surnommé le Sorcier), l’ailier droit le plus diabolique de tous les temps.
George Best (Manchester United): le Cinquième Beatle. Allusion à ses longs cheveux.
Gerd Müller (Bayern Munich): le Bombardier. Un surnom dont fut affublé également le buteur anderlechtois Jef Mermans.
Bobby Charlton (Manchester United): le Gentleman. Un modèle de fair-play.
Jacky Charlton (Leeds United): la Girafe. Le frère de l’autre se singularisait par un long cou.
Dominique Rocheteau (St-Etienne): l’Ange vert. En raison de son minois sympathique et de la couleur verte de l’équipe stéphanoise.
Bixente Lizarazu (Bayern Munich): le Basque bondissant. Le premier à être qualifié ainsi fut l’un des quatre Mousquetaires du tennis français, Jean Borotra, originaire de Biarritz.
Oleg Blokhine (Dinamo Kiev): l’Orient-Express. En raison de sa pointe de vitesse.
Allan Simonsen (Borussia Mönchengladbach, Barcelone) : le Lutin danois. En Belgique, nous avons un lutin aussi, mais d’Ardooie: Marc Degryse.
Roberto Baggio (Fiorentina, Juventus, AC Milan, Inter Milan, Brescia): il Codino (la petite queue). Allusion à son catogan.
Giuseppe Giannini (AS Roma) : il Principe. Référence à son allure princière sur le terrain.
Marco Gentile (Juventus): Khadaffi. Parce qu’il est né à Tripoli et qu’il était aussi intransigeant que le leader lybien.
Gabriel Batistuta (Fiorentina, AS Roma): Batigol ou le Roi Lion. Selon que l’on se penche sur ses qualités de buteur ou sa belle crinière.
Gheorghe Hagi (Steaua Bucarest, Real Madrid, Barcelone, Galatasaray): le Maradona des Carpathes. Le toucher subtil du meilleur joueur roumain de tous les temps.
Lev Yashin (Torpedo Moscou): l’Araignée noire. Le légendaire gardien soviétique était toujours vêtu tout de noir.
Edgar Davids (Juventus): le pit-bull. En raison de son mordant.
Laurent Blanc: le Président. Le chef des Bleus, champions du Monde.
Hakan Sükür (Galatasaray): le Taureau du Bosphore.
Peter Schmeichel (Manchester United, Sporting Portugal, Blackburn Rovers): Terminator.
Zinedine Zidane (Real Madrid): Zizou.
Francesco Totti (AS Roma): il Puppone. Le poupon, terme à connotation affectueuse dans la capitale italienne.
David Beckham (Manchester United): le Spice Boy. On rappellera que Becks (son autre surnom) est l’époux de l’ancienne Spice Girl Victoria Adams, elle-même surnommée Posh Spice.
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