Jacques Stas (Spirou et Lions)

Manager et adjoint qui casse les tables du Week-end sportif

Ta dernière toile ?

Sherlock Holmes, avec Jude Law et Robert Downey Jr. La mise en scène, avec des ralentis comme dans Matrix, était pas mal, tout comme l’intrigue. Cela m’a un peu rappelé la série Colombo, dont j’étais fan plus jeune. J’ai vécu chez mes grands-parents et les programmes violents étaient bannis !

Un film qui t’a fait pleurer ?

J’ai été pas mal ému en voyant mes enfants pleurer devant Armageddon, au moment où Bruce Willis se sacrifie pour sauver son gendre.

La chanson que tu as déjà interprétée en karaoké ?

Heureux qui comme Ulysse de Georges Brassens. Depuis 15 ans, j’organise des camps de basket. Dans ce contexte, on organise des visites. Dans le car, je leur passe la chanson et, finalement, tout le monde la reprend ! A la fin, les enfants reçoivent même des photos du stage, ainsi que la chanson et les paroles.

Quelle est ta rubrique préférée dans Sport/Foot Magazine ?

Les humeurs de Bernard Jeunejean. Il traite aussi bien des anecdotes du foot provincial que de l’international.

Quel dessin animé regardes-tu encore secrètement ?

Quand mon fils avait 11 ans, je suivais Pokemon avec lui. (Il commence à chanter le générique)  » Pokemon, attrapez-les tous, on sera les meilleurs.  » Un dessin animé sympa, pas trop violent, qui aiguise positivement l’esprit de compétition.

Une chanson qui t’a déjà donné les larmes aux yeux ?

Des hommes pareils de Francis Cabrel, Dans 150 ans de Raphaël,… Je suis très à fleur de peau.

Un film qui t’a traumatisé ?

Mission Impossible 3… tellement c’était exagéré ! Avant, les héros étaient un peu plus humains et mesurés.

La question de journaliste qui t’énerve ?

Après la qualif de Charleroi en Euroleague, un journaliste m’a dit que c’était une catastrophe pour le club. On était qualifié depuis 3 minutes 40 ! Je lui ai demandé s’il était possible de savourer l’événement pendant deux minutes et d’en reparler dans deux semaines.

Quelle personnalité médiatique voudrais-tu interviewer ?

Angela Merkel. J’étais en Allemagne en 1988, un an avant la chute du Mur de Berlin. Ce pays était tellement déprimé. Aujourd’hui, c’est une locomotive au niveau européen et mondial. Merkel y a contribué et j’aimerais savoir comment on pourrait s’en inspirer pour résoudre nos problèmes communautaires.

Ton interview la plus étrange ?

Il y a plus de dix ans, j’avais été invité au Week-end sportif pour le titre de Charleroi. Le présentateur m’a complètement désarçonné en me demandant tout de go ce que je pensais… des courants boursiers ! Il savait que c’était l’un de mes dadas mais de là à commencer par ce sujet… Puis, durant la pub, alors que je devais partir, je me suis appuyé sur la table et elle s’est détachée ! Le temps de la remettre, la pause était terminée. Je me suis jeté à terre et j’ai quitté le plateau quasi à plat ventre !

par simon barzyczak

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