Ils l’ont dit
JEAN-MARIE PFAFF, 1981
» Enfant, je mangeais mal. Beaucoup trop de pommes de terre. C’était le pot familial »
BERNARD BOILEAU, 1981
» Jouer, gagner, tendre la main pour l’enveloppe, sauter dans ma voiture et recommencer dans un autre endroit : très peu pour moi »
ROGER MOENS, 1981
» On brûle les jeunes athlètes. Le demi-fond n’est pas une affaire d’enfants »
ARIE HAAN, 1981
» Au Standard, je suis heureux. Quitter Anderlecht a été positif pour moi »
FRANKY VERCAUTEREN, 1981
» Juan Lozano joue au football comme John McEnroe au tennis »
EDDY MERCKX, 1981
» Le sport cycliste aux Etats-Unis est à l’âge des cavernes mais, dans quelques années, les Américains pourraient bien conquérir une place de choix dans le cyclisme international »
WILLY STEVENIERS, 1982
» Dieu sait si on a déjà voulu m’acheter pour fausser l’issue d’un match. Un jour, au Maccabi Tel-Aviv, on m’a proposé 100.000 francs pour que je n’inscrive pas plus de 20 points. J’en ai marqué 39 ! »
MICHEL PLATINI, 1982
» Si on veut que je sois le Fellini de la Juve, il faut m’offrir le moyen de jouer le rôle, c’est-à-dire me donner le ballon »
BERNARD HINAULT, 1983
» Les Classiques ? Bof ! Je n’en fais jamais un objectif. Si je peux en prendre une au passage, je le ferai. Mais pour le reste… »
JEAN-MARIE PFAFF, 1984
» En Belgique, on disait que je faisais tout pour de l’argent. C’est faux. Je partais en Wallonie pour pas un franc »
GERARD PLESSERS, 1985
» Le plus difficile est d’obtenir une place de titulaire à une table de joueurs de cartes »
ROGER VANDEN STOCK, 1985
» On s’étonne souvent de voir apparaître un délégué UEFA qui n’est pas un vieux monsieur »
ENZO SCIFO, 1986
» Je suis agacé par ce sentiment de paternalisme qui m’entoure de toutes parts. Je ne suis quand même plus un gosse »
JEAN-PAUL SPAUTE, 1987
» J’étais au courant de la première sélection de Philippe Albert chez les Diables Rouges avant lui. La veille, en discutant de son futur contrat, j’avais suggéré qu’on y ajoute une clause d’augmentation de son transfert au cas où il deviendrait international »
JUAN LOZANO, 1987
» Un jour, un copain entraîneur m’a donné le cours du Heysel. J’ai renoncé avant de commencer »
JEAN-MICHEL SAIVE, 1988
» Au départ, je jouais également au football. Mais lorsque je gagnais, la coupe restait au club. En tennis de table, elle me revenait. C’est un peu cela qui m’a poussé vers ce sport »
ERIC GERETS, 1988
» Je suis toujours intéressé par l’équipe nationale. Je sais qu’il y a de la concurrence sur le flanc droit, mais si c’était nécessaire, je jouerais à gauche »
RAYMOND GOETHALS, 1988
» Le monde de la presse a beaucoup changé ces dernières années. Parfois, je ne sais même pas dans quel micro je parle »
JEAN-MARIE PFAFF, 1988
» Quand, tout gosse, je voyais une dame avec une voiture d’enfant ou un grand sac, je lui demandais si je ne pouvais pas l’aider à pousser ou à porter. Je pense que j’ai droit, moi aussi, à ce respect aujourd’hui »
DANY VERLINDEN, 1989
» Je ne pourrais jamais travailler dans un pays dingue de football, comme l’Italie ou l’Espagne. Déjà, ici, je fronce les sourcils lorsqu’une bande de gamins fait un peu de bruit »
ALAIN COURTOIS, 1990
» Il faut lutter contre la libre circulation des joueurs parce qu’il serait aberrant de voir onze Belges jouer au Real Madrid »
ROGER HENROTAY, 1992
» En 1995, le Standard sera terrible »
GéRALD BLATON, 1993
» A un moment, on avait 27 joueurs brésiliens à Seraing. Seuls Wamberto, Isaias et Edmilson avaient la pointure. J’ai été grugé comme pas permis »
AAD DE MOS, 1993
» Je suis une garantie de succès »
AIMé ANTHUENIS, 1994
» Comment peut-on être un jour Entraîneur de l’Année et, six mois plus tard, avoir perdu toutes ses capacités »
PHILIPPE VANDE WALLE, 1995
» Quand ils me voient monter, les défenseurs adverses s’écrient : attention, voilà le fou »
ROBERTO BISCONTI, 1996
» J’ai retenu la leçon : je serai faux jeton s’il le faut »
JOHAN VERMEERSCH, 1996
» Si je travaillais dans mes affaires comme le fait la Fédération, il y a 15 ans que j’aurais fait faillite »
GEORGES GRÜN, 1996
» Paul Van Himst est un gentil qui ne sait pas être méchant »
MARC WILMOTS, 1996
» Rester au Standard, ça veut dire devenir un meuble. Je n’ai pas envie de risquer cette sclérose »
JEAN DOCKX, 1997
» Quand on a réellement la classe, on parvient toujours à s’imposer »
OLEG IACHTCHOUK, 1997
» Je pense être un croisement entre Josip Weber et Gilles De Bilde »
HENRI DEPIREUX, 1997
» C’est normal qu’on fasse un film sur mon job au Cameroun : j’ai fait du cinéma toute ma vie »
GUNTHER SCHEPENS, 1997
» Aad de Mos devra comprendre que le football, ce n’est pas l’armée »
LUIS OLIVEIRA, 1997
» Emile Mpenza est mon frère »
GORDAN VIDOVIC, 1997
» Mon père gère des wasserettes à Chicago. Il ne sait pas que je suis Diable Rouge »
GIOVANNI BOZZI, 1997
» Le basket devrait se forcer à rester aussi simple que le football »
ROGER VANDEN STOCK, 1997
» J’ai bien envie de transférer un nouveau bourgmestre »
PAUL VAN HIMST, 1997
» Pär Zetterberg est la personnification la plus noble de l’anti-vedette »
PIERRE DELAHAYE, 1997
» Il faudrait construire un mur pour qu’on foute la paix au Standard »
HUGO BROOS, 1998
» Je suis un peu vieux jeu »
LUKA PERUZOVIC, 1998
» Je connais la plupart des gars du Standard. Je ne débarque quand même pas de Tanzanie »
GEORGES LEEKENS, 1998
» Je tiens à m’excuser… mais uniquement auprès des supporters »
RAYMOND GOETHALS, 1998
» Tomislav Ivic est capable de faire du pain d’épices avec une crotte de bique »
TOMISLAV IVIC, 1999
» Je n’ai été critiqué que par ceux qui ne sont pas parvenus à nous battre »
TROND SOLLIED, 1999
» En Belgique, on s’entraîne trop pour s’entraîner. Or, il faut préparer le match suivant »
DANIEL VAN BUYTEN, 1999
» J’aurais voulu devenir catcheur »
AMAND ANCION, 1999
» Je n’ai jamais dit que j’étais un grand arbitre »
PHILIPPE ALBERT, 1999
» Les règlements ne sont pas les mêmes pour les joueurs et les arbitres, ça m’énerve »
ENZO SCIFO, 2000
» Ma famille était contre, mais j’ai investi des dizaines de millions à Charleroi »
LUCIANO D’ONOFRIO, 2000
» Les dirigeants actuels n’y peuvent rien si le Standard n’a plus été champion depuis 1983 »
DANTE BROGNO, 2001
» J’adorais être détesté »
JEAN-MARC GUILLOU, 2001
» Le foot pro n’est pas un projet social »
MARC DEGRYSE, 2002
» Grâce au foot, j’ai découvert le luxe, le monde… et ma femme »
RENé VANDEREYCKEN, 2002
» Quand on s’accroche à une tactique, on en devient victime »
ARUNA DINDANE, 2002
» Blancs ou Noirs, il y a des crétins partout »
ALMANI MOREIRA, 2003
» Ne dites pas à ma mère que je joue mal »
GAëTAN ENGLEBERT, 2004
» Dans un grand club, les joueurs ne peuvent pas démettre l’entraîneur »
CéDRIC ROUSSEL, 2004
» Je n’en ai rien à foutre que David Beckham ait deux ou trois maîtresses »
FRANKY VERCAUTEREN, 1987: » Je voudrais réaliser un projet à Anderlecht après ma carrière : celui d’une école de jeunes »
éMILE MPENZA, 2000: » Même Ronaldo se serait planté au Standard »
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