© PIRARD/RTL

En 2020, le Galibier sera le nouveau défi de Jean-Michel Zecca

L’an dernier, Jean-Michel Zecca s’était fixé un défi original pour ses 50 ans : grimper le Mont Ventoux, alors qu’il n’était pas un cycliste assidu. Ce qui n’était qu’une blague entre amis a pris la forme d’un projet personnel relié à la cause du Télévie. Vu le succès (60.000 euros récoltés ! ), l’animateur remonte en selle pour défier un autre col mythique.

Pour préparer l’ascension du Ventoux, Jean-Michel Zecca avait suivi des entraînements spécifiques en sillonnant les routes belges et françaises. D’autres cyclistes avaient eu la possibilité d’accompagner l’animateur et c’est une équipe d’environ 200 motivés qui avait mis le cap sur la France pour réaliser l’ascension, en juin.  » Cette première édition a eu un succès fou alors que pas mal de participants avaient déjà gravi le Ventoux « , relate Zecca.  » Beaucoup de personnes nous ont demandé ce qu’on comptait faire. Je me suis dit qu’on n’avait pas entrepris tous ces efforts pour nous arrêter là. J’ai reçu tellement de messages que je me sentirais coupable de ne pas prolonger l’expérience.

 » Pour 2020, le choix s’est posé sur le Galibier. L’idée est de lancer le projet plus tôt dans l’année pour doubler le nombre de participants (entre 400 et 500 cyclistes) et dépasser le montant de la première édition, à savoir 60.000 euros. Zecca a d’ailleurs continué à pratiquer le vélo et intensifiera sa préparation à partir de mars.  » J’ai mis 1h30 pour gravir le Ventoux mais ce n’est pas pour autant que je suis confiant pour le Galibier. Le Ventoux était difficile et le Galibier, ce sera encore une autre paire de manches ! On va grimper jusqu’à 2.300 mètres, pour 1.900 au Ventoux. En plus, tu n’accèdes pas au Galibier sans avoir préalablement monté un autre col, soit le Télégraphe, soit le Lautaret. Bref, ce sera deux cols pour le prix d’un ! « 

L’expédition est prévue pour le week-end du 20 et 21 juin. Comme sa popularité est grandissante, le défi est appelé à devenir annuel.  » Il y a encore pas mal de cols à franchir en France. J’aimerais même m’attaquer à un monument italien, car l’Italie est un autre pays de cyclisme. Je ne suis pas inquiet pour l’avenir : je serai retraité avant qu’on n’ait épuisé la liste des lieux mythiques du cyclisme ! (il rit)  »

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