© GETTY

Cools et Scholz en route pour le titre avec le FC Midtjylland

Le club peut viser un troisième titre danois sous la direction de Brian Priske (ex-Genk et Club Bruges).

Après 24 des 26 journées du championnat régulier de Superligaen, le FC Midtjylland a douze unités d’avance sur le FC Copenhague, son plus proche poursuivant, alors que le troisième, AGF, qui a joué un match de moins, accuse 22 points de retard.  » Ensuite, il y a les play-offs : dix matches réunissant les six meilleures formations mais avec un meilleur système que la Belgique, car les clubs conservent les points acquis « , sourit l’extérieur droit Dion Cools (23 ans), prêté début février par le Club Bruges au leader danois, où il a retrouvé une autre connaissance du football belge, Alexander Scholz.

L’ancien international espoir, qui a aussi joué pour OHL dans le passé, est monté au jeu à trois reprises, la dernière fois le 8 mars au Randers FC (0-2), à la 59e, à la place de l’arrière gauche brésilien Paulinho, en 4-2-3-1.  » En principe, nous sommes trois pour deux places « , explique Cools.  » Le Suédois Joel Andersson évoluait à l’arrière droit mais s’est déporté à gauche lors de mon entrée au jeu. Cependant, je peux aussi dépanner l’équipe à cette position. Mon intégration s’est bien déroulée, mais le football est quand même très différent. Il est beaucoup plus physique qu’en Belgique et il comporte moins de qualités individuelles. J’ai dû trouver mes marques, mais c’est fait.  »

Il a un avantage : l’entraîneur, Brian Priske, qui a lui-même joué à Genk (de 2003 à 2005) et au Club Bruges (de 2006 à 2008), était également un arrière droit au tempérament offensif, qui apportait de la profondeur au jeu.  » Absolument. D’ailleurs, grâce à ses connections en Belgique, il connaissait parfaitement mon profil. Le courant est très bien passé d’emblée. Nous nous entendons parfaitement. L’entraîneur me prodigue sans cesse des conseils pour me faire progresser. Je les apprécie énormément. Il est aussi très réaliste, très calme. Il a un esprit analytique et cherche tranquillement des solutions à tous les problèmes. Il y a beaucoup moins de stress qu’en Belgique, c’est clair.  »

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire