Christine Schréder (VooFOOT) Présentatrice qui colle des chewing-gum avant un direct

La dernière fois que tu t’es endormie devant la télé ?

Devant les derniers épisodes de la saison 7 de Desperate Housewifes. Je m’en veux à mort car c’est ma série culte ! Mais c’était après Anderlecht-Bruges et rester au froid durant le match n’a pas arrangé ma situation.

Ta dernière toile ?

Cars 2, en famille. C’était mon premier film en 3D. Vu le scénario, je dois dire que j’ai eu peur après quinze minutes ! Mais au final, c’était une expérience agréable.

Ton rituel avant un direct ?

Je colle un chewing-gum partout ! Généralement, c’est en dessous de mon siège. Mais il m’arrive d’en laisser un sur la table de présentation ! J’essaie de ne pas oublier de l’enlever, par respect pour les autres…

Ton dernier concert ?

Lenny Kravitz, à Anvers. Les autres sont plus anciens et, si je les cite, je vais passer pour une vieille bobonne ! J’ai suivi Jean-Jacques Goldman depuis les années 80 et j’ai été une victime de la mode Patriiiiiiiick Bruel. Du côté anglo-saxon, il y a Simple Minds, U2, Depeche Mode,…

Ton interview la plus étrange ?

Christoph Daum lors d’Anderlecht-Bruges. Il me parlait en anglais, mais avec une voix forte et très gutturale ! Je ne suis pas très bonne en langues et on sentait qu’il n’avait pas envie de dire grand-chose… J’ai aussi été surprise par le charme et la sympathie de Mark van Bommel qui est pourtant très rude sur un terrain. Dans l’autre sens, Sébastien Ministru avait réussi à me faire dire dans une interview que  » je n’étais pas chaudasse, ni chanteuse de R&B « . Une citation qu’il a bien entendu reprise en titre…

Quelle était la danse d’ouverture de ton mariage ?

Je ne suis pas mariée, je vis en couple avec Nicolas Gillard (NDLR- présentateur du 15 minutes sur la RTBF) mais on choisirait Eternal flame des Bangles. Un titre qui fait référence au début des années 90, quand nous étions encore à l’université.

Un film qui t’a arraché une larme ?

Je ne pourrai plus revoir La vie est belle de Roberto Benigni, surtout depuis que j’ai des enfants. Je suis une fille et donc je pleure souvent ! Mais c’est bénéfique de lâcher ses émotions…

Quel livre emporterais-tu sur une île déserte ?

Un titre d’Elizabeth Georges qui écrit des romans policiers. Je suis fan et j’ai même initié Nicolas à ce qu’il considérait comme une  » sous-littérature « . Autre coup de c£ur : la saga Malaussène de Daniel Pennac.

Le film dans lequel tu aurais voulu jouer ?

Le silence des agneaux pour le rôle de Jodie Foster. Et aussi dans une comédie déjantée pour faire beaucoup de bêtises. Comme Palais royal de Valérie Lemercier. C’est mon humoriste préférée. Elle refuse que ses spectacles soient filmés car elle a peur de se planter à cause du trac. Dommage ! Dans l’un de ses derniers, elle imite merveilleusement bien l’accent belge, sans tomber dans les clichés habituels.

PAR SIMON BARZYCZAK

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