Marc Degryse, lui aussi, évoque la question d'un éventuel marchandage des grands clubs pendant le mercato: en prêtant des joueurs à des petits clubs, ils espéreraient ainsi obtenir un "bon" vote lorsqu'il faudra voter la réforme du championnat. Machiavélique?
João Carlos qui quitte Genk pour le Daghestan, c'est vraiment un choix étonnant. Un autre gros coup est le transfert de Pelé Mboyo de Courtrai à Gand.
Et il y a encore autre chose qui me frappe: les prêts de joueurs, d'un grand club au bénéfice d'un petit. Comme celui de Pablo Chavarria, d'Anderlecht à Eupen. Ou celui de Junior Kabananga, d'Anderlecht au Germinal Beerschot. Je me demande s'il n'y a pas une stratégie bien réfléchie là derrière: et si les grands essayaient ainsi de mettre les petits dans leur manche, dans le but qu'ils votent "bien" quand il faudra prendre une décision définitive sur l'avenir du championnat?
A voir aussi: Polak quitte Anderlecht, et tout le monde y gagne
Sportivement, Anderlecht ne perd pas grand-chose en voyant partir Jan Polak à Wolfsburg parce qu'il avait ses limites: on n'a jamais eu la confirmation que c'était un vrai leader et il était irrégulier, surtout depuis sa blessure en août 2009. L'équipe a assez prouvé pendant sa longue absence qu'il n'était pas indispensable. Et Lucas Biglia va maintenant se sentir plus libre. En plus, le Tchèque fait un pas en avant et Anderlecht récupère de l'argent.
João Carlos qui quitte Genk pour le Daghestan, c'est vraiment un choix étonnant. Un autre gros coup est le transfert de Pelé Mboyo de Courtrai à Gand. Et il y a encore autre chose qui me frappe: les prêts de joueurs, d'un grand club au bénéfice d'un petit. Comme celui de Pablo Chavarria, d'Anderlecht à Eupen. Ou celui de Junior Kabananga, d'Anderlecht au Germinal Beerschot. Je me demande s'il n'y a pas une stratégie bien réfléchie là derrière: et si les grands essayaient ainsi de mettre les petits dans leur manche, dans le but qu'ils votent "bien" quand il faudra prendre une décision définitive sur l'avenir du championnat?A voir aussi: Polak quitte Anderlecht, et tout le monde y gagneSportivement, Anderlecht ne perd pas grand-chose en voyant partir Jan Polak à Wolfsburg parce qu'il avait ses limites: on n'a jamais eu la confirmation que c'était un vrai leader et il était irrégulier, surtout depuis sa blessure en août 2009. L'équipe a assez prouvé pendant sa longue absence qu'il n'était pas indispensable. Et Lucas Biglia va maintenant se sentir plus libre. En plus, le Tchèque fait un pas en avant et Anderlecht récupère de l'argent.