Le Standard, condamné à un match à huis-clos le 23 octobre en première instance, comparaissait devant la Commission des litiges d'appel il y a 10 jours, le 9 novembre. Le club liégeois, représenté par Marc Uyttendaele, avait alors insisté sur le rôle que le club a joué pour éviter les incidents qui se sont produits (jet de fumigènes). Alors que le parquet a demandé un huis-clos partiel qui ne s'appliquerait qu'au groupe de supporters ''Les Ultras'', Marc Uyttendaele a été plus loin en ne manquant pas de signaler qu'une sanction à l'encontre du Standard, alors que les auteurs des incidents ont été identifiés, serait rapidement annulée par un tribunal civil. (JOHN THYS)
Le Standard fixé mardi pour les incidents face à Anderlecht
(Belga) La Commission des litiges d'appel de l'Union belge de football (URBSFA) rendra sa décision mardi dans le dossier concernant les incidents causés par les supporters du Standard lors du match face à Anderlecht le 7 octobre.
Le Standard, condamné à un match à huis-clos le 23 octobre en première instance, comparaissait devant la Commission des litiges d'appel il y a 10 jours, le 9 novembre. Le club liégeois, représenté par Marc Uyttendaele, avait alors insisté sur le rôle que le club a joué pour éviter les incidents qui se sont produits (jet de fumigènes). Alors que le parquet a demandé un huis-clos partiel qui ne s'appliquerait qu'au groupe de supporters ''Les Ultras'', Marc Uyttendaele a été plus loin en ne manquant pas de signaler qu'une sanction à l'encontre du Standard, alors que les auteurs des incidents ont été identifiés, serait rapidement annulée par un tribunal civil. (JOHN THYS)