Le paradoxe brugeois
Au vu de la prestation brugeoise à Anderlecht hier soir, difficile de croire que le Club était en crise.
Sa prestation, ponctuée par deux buts lors de la première demi-heure de jeu, était à l’aune de celle du Zenit Saint-Pétersbourg qui, au Parc Astrid, avait fait encore mieux que les Flandriens, il y a quelques semaines, en plantant trois goals. Un écart suffisant pour se mettre définitivement à l’abri, alors que les Bleu et Noir ont dû composer avec un retour au score du Sporting.
C’est là le paradoxe des troupes d’Adrie Koster, capables à la fois du meilleur mais aussi du pire, comme en témoigne le maigre bilan actuel de 21 points après 14 matches, soit une moyenne de 50% indigne d’un prétendu candidat au titre.
Bruno Govers
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