A deux journées de la fin des play-offs 2, Bruges a reconquis la deuxième place, synonyme de qualification pour les tours préliminaires de la Ligue des Champions.
Il y a quelques jours, on pensait pourtant que les Brugeois devaient abandonner leurs espoirs, vu leur mauvais parcours dans ces play-offs et le retour en boulet de canon de La Gantoise. Mais à Gand, on ne parle plus seulement, de foot, de jeu ces derniers temps. Chaque jour, il est question de l'envie de l'Union Belge de débaucher Michel Preud'homme pour en faire le nouveau coach national.
La fédé s'exprime un jour dans les journaux, le lendemain c'est Preud'homme, le surlendemain c'est le président gantois Ivan De Witte. Qu'on le veuille ou non, c'est comme ça : des rumeurs pareilles sont toujours très néfastes pour l'esprit de groupe et la concentration. Et donc, qu'on le veuille ou non, cette Union Belge théoriquement garante de l'éthique fausse le championnat comme elle l'avait fait quand elle était allée arracher Georges Leekens autrefois à Mouscron.
Pierre Danvoye
Il y a quelques jours, on pensait pourtant que les Brugeois devaient abandonner leurs espoirs, vu leur mauvais parcours dans ces play-offs et le retour en boulet de canon de La Gantoise. Mais à Gand, on ne parle plus seulement, de foot, de jeu ces derniers temps. Chaque jour, il est question de l'envie de l'Union Belge de débaucher Michel Preud'homme pour en faire le nouveau coach national. La fédé s'exprime un jour dans les journaux, le lendemain c'est Preud'homme, le surlendemain c'est le président gantois Ivan De Witte. Qu'on le veuille ou non, c'est comme ça : des rumeurs pareilles sont toujours très néfastes pour l'esprit de groupe et la concentration. Et donc, qu'on le veuille ou non, cette Union Belge théoriquement garante de l'éthique fausse le championnat comme elle l'avait fait quand elle était allée arracher Georges Leekens autrefois à Mouscron. Pierre Danvoye