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Un repreneur avant ou après faillite pour Mons ?

Stephane Vande Velde

Le futur du club montois se dessine toujours sous forme de point d’interrogation.

Alors que le président Dominique Leone avait tiré la sonnette d’alarme au mois de novembre et que des rumeurs persistantes annonçaient la faillite de Mons pour la fin de l’année 2014, le RAEC Mons est toujours bien présent un mois et demi plus tard. Pourtant, les nuages ne se sont pas envolés pour autant. La chute en D2 a fait énormément de mal aux finances, d’autant plus que le parachute doré a été utilisé sur l’exercice comptable de la saison dernière.

Certes, le travail fourni ces derniers mois a permis de limiter la casse – les salaires de janvier ont été réglés, en récupérant à gauche et à droite des sommes dues par des sponsors ou en concluant un mini-sponsoring notamment – mais cela ne sera pas suffisant pour assurer la pérennité du club. Le transfert d’Harlem Gnohéré en Chine aurait pu ajouter un peu de beurre dans les épinards mais l’affaire a capoté.

Cette semaine pourrait s’avérer décisive dans l’optique d’une reprise. Reste à savoir si Mons trouvera un repreneur avant ou après faillite ? Pierre François, injoignable, n’a pas répondu à nos questions. Sur le plan sportif, Mons a vu s’envoler ses derniers espoirs de tour final en s’inclinant lourdement à Lommel et sait donc qu’il évoluera (au mieux) en D2 la saison prochaine.

Par Stéphane Vande Velde

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