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Spécial Standard : Rouche Passion

Un hors-série sur le Standard sera disponible dès jeudi dans les points de vente habituels.

L’année 2018 est placée sous le signe des chiffres ronds pour le Standard. Il fête ainsi ses 120 ans – même si, preuves à l’appui, il ne compte que 118 ans, comme nous le démontrons dans ce « Spécial » -, de même que sa centième saison au plus haut niveau du football belge. Les dates-anniversaires ne s’arrêtent toutefois pas là car, voici soixante ans, en 1958, le club de Sclessin était sacré pour la première fois champion de Belgique. Et, il y a tout juste une décennie, il étrennait son neuvième et avant-dernier titre sous la direction de Michel Preud’homme.

Celui-ci est bien évidemment à l’honneur dans cet ouvrage, avec un flashback retraçant cette saison 2007-08 époustouflante et la nuit de folie qui s’ensuivit dans la Cité Ardente. Mais Preud’ excipe bien évidemment aussi d’un passé de joueur comme nul autre, dont nous retraçons les contours entre Plainevaux, où tout a débuté pour lui, et la fameuse rue de la Centrale. Mais l’homme aux multiples casquettes n’est pas le seul Liégeois bon teint à figurer dans ces bonnes pages. Place aussi à ces gardiens du temple que sont les Standardmen pur jus Sébastien Pocognoli, Paul-José Mpoku, Réginal Goreux et Jean-François Gillet. Sans compter Bruno Venanzi, simple fan à ses débuts, devenu entre-temps président du club.

Parmi les autres interviewés de marque, on notera Paul Bonga-Bonga, première perle noire du Standard, qui fut partie prenante dans les sacres du club en 1958, 1961 et 1963. Place aussi, comme de bien entendu, au Limbourgeois qui a le mieux symbolisé l’importance des joueurs flamands en bord de Meuse, Eric Gerets. Un article retrace derrière l’impact de tout ce beau monde, de Karel Mallants dans les années ’50 jusqu’à Zinho Vanheusden aujourd’hui, en passant par l’inoubliable Wilfried Van Moer à la fin des sixties.

Indépendamment des joueurs, entraîneurs et dirigeants, le hors-série revient aussi sur une poignée de faits marquants, dépeint quelques fans triés sur le volet et se plonge dans l’Enfer de Sclessin, un endroit mythique avec les hauts-fourneaux en toile de fond. Bonne lecture!

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