"Je suis très ému, je voulais gagner une étape sur le Tour d'Italie pour mon premier Giro", a confié le Colombien, deuxième à Cogne dimanche. "Grâce à l'équipe, qui a cru en moi, à ma famille, aux gens qui me soutiennent, j'ai pu le réaliser. C'est une victoire pour l'équipe, pour ma famille. Je suis très content." Victime d'une chute dans la première partie de l'étape, Buitrago a entamé l'ascension du Menador avec 1:30 de retard sur le duo néerlandais. Il est revenu sur Van der Poel puis sur Leemreize, qu'il a déposé juste avant le sommet, à 8 km de l'arrivée. "Il fallait garder la tête froide. Je savais que Van der Poel et Leemreize avaient de l'avance, mais je savais qu'ils n'étaient pas les meilleurs grimpeurs. J'y suis allé avec les jambes. J'ai demandé à mon directeur sportif si je pouvais encore le faire. Je savais que je pouvais revenir en solitaire. A l'arrivée, il y avait beaucoup d'émotion." (Belga)
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Santiago Buitrago devait "garder la tête froide" pour revenir dans la dernière ascension
(Belga) Santiago Buitrago, 22 ans, a agrémenté son premier Tour d'Italie d'une belle victoire, mercredi à Lavarone, au terme de la 17e étape. Le Colombien est revenu sur Gijs Leemreize (Jumbo-Visma) et Mathieu van der Poel (Alpecin-Fenix) dans la dernière ascension du jour, le Menador. "Il fallait garder la tête froide, ils avaient de l'avance mais je savais qu'ils n'étaient pas les meilleurs grimpeurs", a résumé Buitrago durant l'interview flash d'après-course.
"Je suis très ému, je voulais gagner une étape sur le Tour d'Italie pour mon premier Giro", a confié le Colombien, deuxième à Cogne dimanche. "Grâce à l'équipe, qui a cru en moi, à ma famille, aux gens qui me soutiennent, j'ai pu le réaliser. C'est une victoire pour l'équipe, pour ma famille. Je suis très content." Victime d'une chute dans la première partie de l'étape, Buitrago a entamé l'ascension du Menador avec 1:30 de retard sur le duo néerlandais. Il est revenu sur Van der Poel puis sur Leemreize, qu'il a déposé juste avant le sommet, à 8 km de l'arrivée. "Il fallait garder la tête froide. Je savais que Van der Poel et Leemreize avaient de l'avance, mais je savais qu'ils n'étaient pas les meilleurs grimpeurs. J'y suis allé avec les jambes. J'ai demandé à mon directeur sportif si je pouvais encore le faire. Je savais que je pouvais revenir en solitaire. A l'arrivée, il y avait beaucoup d'émotion." (Belga)