"C'est dommage car c'est le chrono le plus lent de ma saison", a avoué la native de Leyde, aux Pays-Bas. "Je ne cherche pas d'excuse mais j'ai été malade la semaine dernière et nous avons dû modifier mes entraînements pour gérer ce petit virus", a dit Van Den Broeck, précisant qu'il ne s'agissait pas du Covid-19. "J'étais bien à l'échauffement mais je n'ai pas eu l'énergie qui est d'habitude la mienne en fin de course. La cause se trouve peut-être dans ce virus. Tout ça fait partie du sport, il faut l'accepter. Ce n'est que le début de ma carrière. C'était ma première course individuelle dans un grand championnat", a tenu à rappeler la pensionnaire du ROCA, qui estime que "cela ne peut que s'améliorer". Van Den Broeck, 26 ans, aurait pu passer le cap des séries si elle avait approché, ne fut-ce que de 4 dixièmes, son record personnel (51.73) établi le 26 juin aux championnats de Belgique à Gentbrugge. "Chaque course est différente, on ne peut pas vraiment comparer. Beaucoup d'athlètes doivent apprendre à gérer une contre-performance, il faut y passer. Malheureusement pour moi c'est survenu ici aux Mondiaux mais il reste encore Munich (l'Euro, du 15 au 21 août, ndlr). Il faut rester positive." (Belga)
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Mondiaux d'athlétisme - Naomi Van Den Broeck en manque d'énergie dans la dernière ligne droite
(Belga) Naomi Van Den Broeck est quelque peu passée à côté de son sujet lors des séries du 400 mètres lors des Mondiaux d'athlétisme, dimanche à Eugene. La championne de Belgique a en effet signé le 40e temps des engagées, dans un chrono de 53.16.

"C'est dommage car c'est le chrono le plus lent de ma saison", a avoué la native de Leyde, aux Pays-Bas. "Je ne cherche pas d'excuse mais j'ai été malade la semaine dernière et nous avons dû modifier mes entraînements pour gérer ce petit virus", a dit Van Den Broeck, précisant qu'il ne s'agissait pas du Covid-19. "J'étais bien à l'échauffement mais je n'ai pas eu l'énergie qui est d'habitude la mienne en fin de course. La cause se trouve peut-être dans ce virus. Tout ça fait partie du sport, il faut l'accepter. Ce n'est que le début de ma carrière. C'était ma première course individuelle dans un grand championnat", a tenu à rappeler la pensionnaire du ROCA, qui estime que "cela ne peut que s'améliorer". Van Den Broeck, 26 ans, aurait pu passer le cap des séries si elle avait approché, ne fut-ce que de 4 dixièmes, son record personnel (51.73) établi le 26 juin aux championnats de Belgique à Gentbrugge. "Chaque course est différente, on ne peut pas vraiment comparer. Beaucoup d'athlètes doivent apprendre à gérer une contre-performance, il faut y passer. Malheureusement pour moi c'est survenu ici aux Mondiaux mais il reste encore Munich (l'Euro, du 15 au 21 août, ndlr). Il faut rester positive." (Belga)