© BELGA

Le réseau de Bruno Venanzi

Stephane Vande Velde

Qui sont les proches du nouveau président du Standard ?

Homme d’affaires résolument liégeois, Bruno Venanzi dispose d’un large réseau dans sa ville. Très proche du président de Meusinvest et ancien coprésident d’Ecolo, Jean-Michel Javaux, il l’est également de certains leaders socialistes (Jean-Claude Marcourt et Willy Demeyer) et du libéral Pierre-Yves Jeholet. Il l’était également de Melchior Wathelet jr, qui a choisi d’obliquer vers le privé.

Dans le monde de l’entrepreneuriat, il connaît évidemment tous les acteurs du secteur de l’énergie. Mais il fait aussi partie d’YPO (Young Presidents’Organisation), une organisation internationale qui possède une filiale belge (Brussels Chapter). Pour y entrer, il faut avoir moins de 45 ans, être le CEO (ou une fonction similaire) d’une boîte qui doit afficher un chiffre d’affaires d’au moins 10 millions d’euros et employer au moins 50 personnes.

On y entre par cooptation et moyennant une cotisation annuelle de 2500 euros. En font partie Dominique Leroy (Belgacom), Laurent Levaux (Aviapartner), Eric Mestdagh ou Bernard Delvaux (Sonaca), dont Venanzi est très proche.

Enfin, lui qui fréquente le milieu du foot depuis qu’il a une loge au Standard, a longtemps été un familier de Luciano D’Onofrio (mais pas autant que François Fornieri, très proche de LDO) mais ce dernier, au courant depuis quelques mois de ses envies de rachat du Standard, a modérément apprécié qu’il devienne le vice-président de Roland Duchâtelet.

Très proche aussi de Christophe Henrotay, il avait assisté à ses côtés à la victoire du Bayern Munich en finale de Ligue des champions en 2013, et à la fête d’après-match à la table de Daniel Van Buyten.

Par Stéphane Vande Velde

Retrouvez l’intégralitré de l’article sur la prise de pouvoir de Bruno Venanzi au Standard dans votre Sport/Foot Magazine

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire