Le capitaine de La Gantoise Pelé Mboyo, bientôt 26 ans, a inscrit un doublé face à Mons (2-1), samedi dernier lors de la 1ère journée des PO2. La nuit précédant la rencontre, l'attaquant l'avait passée en garde à vue...
Pelé Mboyo a en effet passé la nuit de vendredi à samedi passé en cellule suite à un refus d'obéir aux injonctions d'inspecteurs de police qui procédaient à un contrôle d'identité dans le quartier de Matonge à Ixelles, révèlent les quotidiens du groupe Sud Presse et Het Nieuwsblad dans leurs éditions de ce mercredi.
L'attaquant qui ne voulait pas montrer ses papiers aurait insulté les policiers. Ceux-ci l'ont alors arrêté pour rébellion. Pelé Mboyo a été auditionné par un magistrat puis relaxé dans la journée de samedi. Il a ainsi pu jouer en soirée. Le Parquet de Bruxelles a confirmé l'interpellation aux médias qui relatent cette affaire.
Pelé Mboyo, qui était alors affilié au RSC Anderlecht, a déjà eu de très sérieux ennuis judiciaires en 2005, pour des faits de viol collectif datant de 2004. Il avait été condamné à 7 ans de prison avec trois années de sursis. Il avait ensuite obtenu sa libération conditionnelle en 2009, après avoir accepté de se soumettre à un programme d'aide "Foot en prison".
La Gantoise n'a pas communiqué au sujet de cet incident judiciaire, et l'ancien joueur du RSC Charleroi, contacté par les médias cités ci-dessus, a nié les faits.
Pelé Mboyo a en effet passé la nuit de vendredi à samedi passé en cellule suite à un refus d'obéir aux injonctions d'inspecteurs de police qui procédaient à un contrôle d'identité dans le quartier de Matonge à Ixelles, révèlent les quotidiens du groupe Sud Presse et Het Nieuwsblad dans leurs éditions de ce mercredi.
L'attaquant qui ne voulait pas montrer ses papiers aurait insulté les policiers. Ceux-ci l'ont alors arrêté pour rébellion. Pelé Mboyo a été auditionné par un magistrat puis relaxé dans la journée de samedi. Il a ainsi pu jouer en soirée. Le Parquet de Bruxelles a confirmé l'interpellation aux médias qui relatent cette affaire.
Pelé Mboyo, qui était alors affilié au RSC Anderlecht, a déjà eu de très sérieux ennuis judiciaires en 2005, pour des faits de viol collectif datant de 2004. Il avait été condamné à 7 ans de prison avec trois années de sursis. Il avait ensuite obtenu sa libération conditionnelle en 2009, après avoir accepté de se soumettre à un programme d'aide "Foot en prison".
La Gantoise n'a pas communiqué au sujet de cet incident judiciaire, et l'ancien joueur du RSC Charleroi, contacté par les médias cités ci-dessus, a nié les faits.