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Kaminski :  » L’équipe nationale polonaise ? C’est possible « 

Jan Hauspie
Jan Hauspie Jan Hauspie is redacteur bij Sport/Voetbalmagazine.

Transféré à Courtrai, l’ex-gardien d’Anderlecht a déjà été repris par Marc Wilmots mais il n’a jamais joué pour les Diables et peut donc techniquement toujours opter pour la Pologne.

En mai 2014, Thomas Kaminski a interrompu ses vacances quand Marc Wilmots l’a convoqué pour un stage en Suède, peu avant le départ des Diables Rouges pour le Mondial. Koen Casteels et Silvio Proto, son rival à Anderlecht, étaient blessés et Simon Mignolet était incertain. Celui-ci s’est finalement rétabli et Sammy Bossut a pris place dans l’avion, comme numéro trois. Un an plus tôt, Kaminski avait déjà participé au stage aux États-Unis. Comme en Suède, il n’avait pas joué. Il est donc toujours sélectionnable pour la Pologne, la patrie de son père Jacek.

 » Je n’ai pas encore disputé de match pour la Belgique, donc je peux encore opter pour la Pologne « , confirme-t-il.  » Je suis suivi. D’ailleurs, l’été dernier, plusieurs clubs polonais se sont intéressés à moi. Comme je n’ai pas joué cette saison à Copenhague, je ne pense pas être sélectionné maintenant. La Pologne reste le pays d’origine de mon père et elle a une belle équipe ainsi que de bons gardiens : Wojciech Szczesny, Artur Boruc, Lukasz Fabianski, PrzemyslawT yton. Szczesny est le plus jeune : il a deux ans de plus que moi. Je dois me montrer à Courtrai. On verra bien ensuite.  »

Par Jan Hauspie

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