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Gianni Bruno se livre à Sport Foot Mag: « Il faut toujours que ce soit électrique au Standard »

D’espoir du football belge à routinier de la Pro League, la carrière de Gianni Bruno raconte la trajectoire d’un joueur qui a fait ses gammes avec Eden Hazard, mais a duré dans le métier grâce à Franky Vercauteren. Au point de s’imaginer à Liège ?

Le Standard manque cruellement d’un attaquant qui marque des buts. Tu vas nous dire que comme tu ne joues plus au numéro 9, tu ne corresponds pas au profil recherché?

GIANNI BRUNO: ( Il éclate de rire) Je peux en tout cas vous dire que je n’ai pas eu de contact cet hiver avec le Standard. Je suis bien à Zulte, mais c’est vrai que je ne suis aussi jamais resté plus de deux ans dans le même club. À croire qu’il va bientôt falloir penser à prendre son envol…

En vrai, la situation actuelle du Standard n’est pas tellement plus flatteuse que celle de Zulte. Comment expliques-tu ce qu’il se passe à Liège?

BRUNO: C’est un club à part. Je ne m’inquiète pas, ça a toujours été comme ça. Déjà quand j’étais petit, il fallait tout le temps que ce soit électrique, c’est dans les gènes du club. Au Standard, il y a le feu en permanence. Je ne connais pas la direction actuelle, je ne peux pas la juger, mais elle me semble correspondre à l’ADN du club ( rires).

Revenir un jour dans le club de ton coeur, ça reste une envie?

BRUNO: J’ai toujours aimé voyager, ma femme aussi, et il nous arrive de nous dire qu’on aimerait encore profiter de ma carrière pour connaître une nouvelle destination. C’est l’une des forces de mon métier. Après, porter un jour le maillot du Standard, ça ne se refuse pas…

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