© BELGA - Christophe Ketels

Comment Murillo est arrivé à Anderlecht grâce aux frères Wright-Phillips

Pierre Danvoye
Pierre Danvoye Pierre Danvoye est journaliste pour Sport/Foot Magazine.

Le Panaméen raconte à Sport/Foot Magazine les étonnantes circonstances de ses premiers contacts avec le Sporting.

Pourquoi tu as choisi Anderlecht alors qu’il y avait aussi un intérêt du Standard, du PSV et de quelques clubs en Espagne?

MURILLO: Ce qui a fait toute la différence, c’est l’appel que j’ai reçu de Vincent Kompany. Il m’avait déjà parlé un peu après notre match contre la Belgique à la Coupe du monde, il m’avait dit qu’il m’avait trouvé très bon. Puis, l’hiver dernier, il m’a appelé pour m’expliquer son projet, le jeu qu’il voulait pratiquer à Anderlecht, son ambition de gagner beaucoup de matches en jouant bien, l’objectif de ramener Anderlecht en Ligue des Champions. Il m’a dit que si j’arrivais à m’adapter au concept qu’il avait en tête, je serais souvent sur le terrain.

Comment Kompany est arrivé jusqu’à toi? On raconte que Sacha Kljestan a été le premier à te renseigner à Anderlecht?

MURILLO: Ce sont plus les frères Wright-Phillips qui ont été les détonateurs de l’histoire. Je jouais avec Bradley à New York. Il a parlé de moi à son frère Shaun, qui a été coéquipier de Kompany à City. Shaun m’a ensuite renseigné à Kompany.

Comment tu réagis quand tu reçois son appel?

MURILLO: C’est la surprise totale, évidemment. Il se présente et m’explique pourquoi il m’appelle. J’ai Vincent Kompany au bout du fil, quoi…

Découvrez l’intégralité de cette interview dans les pages de votre Sport/Foot Magazine, en vente jusqu’au mardi 15 juillet.

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire