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Bruges-Copenhague, premier échec pour Leekens

Ariel Jacobs continue à causer des soucis à Bruges, même s’il n’est plus à la tête d’Anderlecht. Il n’a pas changé. Apparemment, au Danemark aussi, quand on gagne c’est grâce aux joueurs et quand on perd c’est à cause de l’entraîneur. Il a gagné, c’est donc grâce.

« Ce n’est pas un succès de Jacobs sur Bruges, c’est simplement un bon résultat pour Copenhague », a déclaré Ariel Jacobs après la rencontre.

Quant à Georges Leekens : sa série d’occasions ratées, entamée à la tête des Diables Rouges, continue. Il perd toujours des matches qu’à ses yeux en tout cas, il méritait de gagner. « Quand la malchance s’en mêle et que les décisions arbitrales sont défavorables, que voulez-vous faire ? », soupire-t-il.

C’est vrai : en fin de match, Bruges a heurté le poteau et un but de Maxime Lestienne a été injustement annulé. Mais pourquoi a-t-il attendu l’égalisation de Copenhague, et donc l’élimination virtuelle de Bruges, pour enfin commencer à jouer au football ?

Au fond Georges, si d’aventure un club qatari s’intéressait à toi, combien de % de ton travail as-tu déjà accompli dans la Venise du Nord ? Pas encore 90%, quand même ? Tu avais trois objectifs : le titre, la coupe et la qualification pour la Ligue des Champions. En voilà déjà un de raté.

Daniel Devos, Sport/Foot Magazine

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