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Quand le gardien de Bruges est entré dans l’histoire

Ethan Horvath n’est pas prêt d’oublier ce match du 7 octobre 2016.

Ethan Horvath n’a disputé qu’un seul match international. Mais lequel! C’était face à Cuba, à La Havane. « Débuter en équipe nationale, c’est déjà une aventure en soi mais ici, il s’agissait de la première rencontre entre les deux pays, avec la meilleure équipe possible. C’était aussi le premier match retransmis en direct par la télévision cubaine… Je pouvais difficilement rêver cadre plus historique… Mon père et ma mère ont encadré le maillot que je portais ce jour-là, ils l’ont accroché à la maison. Cuba – USA…

À La Havane, il faisait super chaud, nous n’avons rien vu de la ville, sauf par la fenêtre. C’était comme dans les films: de vieux bâtiments, de vieilles voitures, des gens très gentils… Il faut voir ça une fois dans sa vie. Je remercie Jurgen Klinsmann de m’avoir donné cette chance. Malheureusement pour moi, il a été remplacé et son successeur, Bruce Arena fait davantage confiance aux joueurs de MLS et aux plus âgés, parce qu’il les connaît mieux. Je ne peux pas le lui reprocher, c’est sa philosophie mais je suis confiant: si on se qualifie, je serai dans la sélection pour la Coupe du monde. »

Sur ce plan, il attend impatiemment le mois d’octobre. « Le prochain match de qualification, face au Panama, c’est notre finale de Coupe du monde. Ils ont un point d’avance sur nous et on est à égalité avec le Honduras. Moscou, c’est un rêve mais ce match face au Panama, c’est yes or no. »

par Peter T’Kint

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