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Ce jour-là: Wellens en puncheur costaud au Giro

Le Belge règle une concurrence de haut vol au sommet d’une bosse sicilienne, le 8 mai 2018.

Une fois n’est pas coutume, c’est sous le soleil que Tim Wellens fête sa victoire. Amoureux des escapades pluvieuses, le Trudonnaire se la joue puncheur attentiste pour régler la concurrence à Caltagirone, au sommet d’une bosse d’un petit kilomètre avec des passages à 13%.

Ce 8 mai 2018, le leader de Lotto confirme un printemps réussi. Vainqueur de la Ruta del Sol, il boucle Paris-Nice à la cinquième place, après avoir collecté cinq présences dans le top 10 en huit étapes. Couronné sur la Flèche Brabançonne, il se classe sixième à Valkenburg, septième au sommet du Mur de Huy et seizième à Liège.

La forme est idéale pour des retrouvailles avec le Giro, deux ans après un succès d’étape au bout d’une chevauchée solitaire. En 2017, Wellens a préféré se mesurer au Tour de France, mais l’aventure s’est conclue par un abandon au bout de deux semaines difficiles, dans une chaleur qui lui convient mal.

Un an plus tard, pour l’arrivée du Giro en Sicile après un grand départ en Israël, l’homme fort des Lotto est calé dans la roue d’un ambitieux Enrico Battaglin sous la flamme rouge. L’Italien lance de loin, et emmène des calibres comme Simon Yates, Michael Woods ou Davide Formolo dans son sillage. Tout ce beau monde est mis au pas par un Wellens étincelant, qui décroche là sa deuxième – et jusqu’ici dernière – victoire d’étape sur un Grand Tour.

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