"A la lumière des circonstances actuelles, Stephen a été clair, il ne veut pas pas voir la même erreur qu'il a commise il y a 20 ans se reproduire", a commenté le président de Cycling Australia, Klaus Mueller. Steven Hodge avait entamé sa carrière professionnelle en 1987 évoluant dans le peloton européen jusqu'en 1996, notamment au sein de l'équipe française Festina, au centre du grand scandale ayant éclaboussé le Tour de France deux années plus tard en 1998. Il était devenu vice-président de la fédération australienne en 2007. "Durant une période de ma carrière, j'ai eu recours aux produits dopants. Une décision dont je ne suis pas fier. Je suis désolé de l'avoir fait. C'était une erreur. Je regrette d'avoir trompé la fédération, ma famille, les amis, les collègues et les supporters", a écrit Stephen Hodge dans sa lettre de démission. En début de semaine, c'était Matt White, ancien coureur professionnel et témoin clé dans le rapport de l'USADA, l'agence antidopage américaine, sur l'enquête liée à Lance Armstrong, qui avait remis sa démission de la fédération australienne où il occupait un poste de coordinateur. Démissionnant aussi de son poste de directeur sportif de Orica-GreenEdge, Il avait aussi avoué avoir eu recours au dopage lorsqu'il courait pour l'US Postal. (CYCLING AUSTRALIA)
Cyclisme : Le vice-président de la fédération australienne reconnaît s'être dopé et démissionne
(Belga) Stephen Hodge, devenu vice-président de la fédération cycliste australienne, a démissionné de ses fonctions avec effet immédiat, reconnaissant avoir eu recours au dopage lors de sa carrière de coureur professionnel, a annoncé la fédération australienne (Cycling Australia) vendredi dans un communiqué.
"A la lumière des circonstances actuelles, Stephen a été clair, il ne veut pas pas voir la même erreur qu'il a commise il y a 20 ans se reproduire", a commenté le président de Cycling Australia, Klaus Mueller. Steven Hodge avait entamé sa carrière professionnelle en 1987 évoluant dans le peloton européen jusqu'en 1996, notamment au sein de l'équipe française Festina, au centre du grand scandale ayant éclaboussé le Tour de France deux années plus tard en 1998. Il était devenu vice-président de la fédération australienne en 2007. "Durant une période de ma carrière, j'ai eu recours aux produits dopants. Une décision dont je ne suis pas fier. Je suis désolé de l'avoir fait. C'était une erreur. Je regrette d'avoir trompé la fédération, ma famille, les amis, les collègues et les supporters", a écrit Stephen Hodge dans sa lettre de démission. En début de semaine, c'était Matt White, ancien coureur professionnel et témoin clé dans le rapport de l'USADA, l'agence antidopage américaine, sur l'enquête liée à Lance Armstrong, qui avait remis sa démission de la fédération australienne où il occupait un poste de coordinateur. Démissionnant aussi de son poste de directeur sportif de Orica-GreenEdge, Il avait aussi avoué avoir eu recours au dopage lorsqu'il courait pour l'US Postal. (CYCLING AUSTRALIA)