© AFP

F1: Alonso doit passer la vitesse supérieure à Silverstone

Frédéric Vanheule
Frédéric Vanheule Frédéric Vanheule is redacteur bij Sport/Voetbalmagazine.

Le pilote espagnol de Ferrari est sous pression au Grand Prix de Grande-Bretagne, ce dimanche. En 2013, Fernando Alonso (31 ans) affiche plus de faiblesses qu’autre chose.

La Scuderia n’a plus fourni de champion du monde depuis 2007 et Kimi Räikkönen. Comme le triple champion du monde Sebastian Vettel compte 36 points d’avance après sept GP, Alonso va devoir enfin dévoiler son talent.

Depuis qu’il a quitté Renault pour la marque italienne en 2010, il a toujours été à son aise chez Ferrari : on a attribué ses bons résultats à son potentiel, car l’Espagnol a longtemps été considéré comme le pilote le plus complet de sa génération, un homme capable d’exploiter la moindre petite chance.

Mais alors que dans le passé, le bolide qu’il pilotait présentait constamment l’un ou l’autre problème, le F138 actuel est très fiable. Cette construction n’a pas le moindre point faible, elle est rapide et apte à briguer la victoire. Las, Alonso semble avoir perdu son aptitude à se surpasser et à lutter pour le sacre mondial.

Sa position peut sembler confortable, puisqu’il est sous contrat jusqu’en 2016, mais elle ne constitue pas une garantie. Le champion du monde 2005 et 2006 est passif depuis le début de la saison. Il devra se secouer le 30 juin à Silverstone.

PAR FRÉDÉRIC VANHEULE

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu partenaire