Milan Jovanovic ne rate jamais une occasion de féliciter ses coéquipiers. Cette fois-ci c'est le gardien d'Anderlecht, Silvio Proto, qui fait l'objet de ses louanges : "notre gardien de but a été génial à Gand : chapeau..."
Milan Jovanovic doit soigner une blessure à la cuisse qui l'éloignera des terrains durant une dizaine de jours. Le "serpent" a beaucoup joué sans avoir pris part à la campagne de préparation de son club et cela explique sa mini-déchirure.
A Gand, Trond Sollied a reproché les incessantes passes en retrait des Mauves à leur gardien de but, Silvio Proto. Le coach norvégien a estimé, en parlant des "longs services de Proto", qu'Anderlecht ne jouait pas au football mais au... tennis.
"Sollied est un grand coach mais c'est du blabla", avance Jova. "Qui a gagné ? Anderlecht. Et c'est ce qui compte. En plus de ses parades de grande classe, Silvio a été génial dans la gestion des événements. Chaque fois qu'il avait le ballon, Gand se retirait en masse dans son camp. Qui était défensif ? Pour gêner Silvio, il suffisait que Gand avance un attaquant. Silvio a déjoué un de leurs plans, a gagné du temps et a frustré notre adversaire : chapeau."
Jovanovic est plus heureux que jamais à Anderlecht : "Ce que je vis dans ce club est phénoménal. Je m'attendais à un bon accueil mais cela dépasse tout. A Gand, quand je me suis retiré, les supporters ont scandé mon nom : j'en ai encore la chair de poule. Je leur rendrai tout ce qu'ils me donnent. Je suis venu à Anderlecht avec une ambition : être champion. Ce n'est pas Jova qui compte, c'est Anderlecht et Anderlecht sera champion, j'en suis sûr."
Pierre Bilic, Sport/Foot Magazine
Milan Jovanovic doit soigner une blessure à la cuisse qui l'éloignera des terrains durant une dizaine de jours. Le "serpent" a beaucoup joué sans avoir pris part à la campagne de préparation de son club et cela explique sa mini-déchirure.
A Gand, Trond Sollied a reproché les incessantes passes en retrait des Mauves à leur gardien de but, Silvio Proto. Le coach norvégien a estimé, en parlant des "longs services de Proto", qu'Anderlecht ne jouait pas au football mais au... tennis.
"Sollied est un grand coach mais c'est du blabla", avance Jova. "Qui a gagné ? Anderlecht. Et c'est ce qui compte. En plus de ses parades de grande classe, Silvio a été génial dans la gestion des événements. Chaque fois qu'il avait le ballon, Gand se retirait en masse dans son camp. Qui était défensif ? Pour gêner Silvio, il suffisait que Gand avance un attaquant. Silvio a déjoué un de leurs plans, a gagné du temps et a frustré notre adversaire : chapeau."
Jovanovic est plus heureux que jamais à Anderlecht : "Ce que je vis dans ce club est phénoménal. Je m'attendais à un bon accueil mais cela dépasse tout. A Gand, quand je me suis retiré, les supporters ont scandé mon nom : j'en ai encore la chair de poule. Je leur rendrai tout ce qu'ils me donnent. Je suis venu à Anderlecht avec une ambition : être champion. Ce n'est pas Jova qui compte, c'est Anderlecht et Anderlecht sera champion, j'en suis sûr." Pierre Bilic, Sport/Foot Magazine