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Le Tour 2014 de A à Z

L’abécédaire de la 101e édition du Tour de France.

A comme AG2R La Mondiale. L’équipe française a été la meilleure avec les deuxième et sixième places du général pour Péraud et Bardet, une victoire d’étape pour Blel Kadri et une première place au classement général par équipes.

B comme Belgique. Un des trois pays étrangers traversés par le Tour 2014, avec le Royaume-Uni et l’Espagne. Mais une des grandes nations absentes du palmarès.

C comme chutes. Elles ont été fatales aux deux favoris Chris Froome et Alberto Contador et au sprinteur Mark Cavendish.

D comme dopage. Aucune affaire de dopage n’est venue perturber les trois semaines de Tour.

E comme échec. Le Tour 2014 a été un échec pour la formation Sky après deux années d’ultra-domination.

F comme France. Le cyclisme français a connu une année faste avec Péraud, Pinot et Bardet dans le Top 6 final, deux victoires d’étape pour Kadri et Gallopin et un maillot jaune pour Gallopin.

G comme Grande Guerre. Le Tour a commémoré le centenaire du début de la Première Guerre mondiale en longeant durant cinq étapes l’ancienne ligne de front, du Nord aux Vosges.

H comme histoire. La victoire de Vincenzo Nibali fait entrer l’Italien dans l’histoire du cyclisme: il devient le sixième coureur à avoir remporté les trois Grands Tours.

I comme intouchable. Les 7 minutes et 37 secondes entre Nibali et son premier poursuivant sont le plus gros écart enregistré depuis 1997.

J comme Ji. Premier Chinois à prendre le départ du Tour, Cheng Ji a terminé en dernière position avec un retard inédit depuis 1954 de plus de six heures.

K comme Kittel. L’Allemand Marcel Kittel s’est affirmé comme le meilleur sprinteur du moment avec, comme l’an dernier, quatre succès d’étape dont celui des Champs-Elysées.

L comme Londres. La capitale britannique, grandiose ville d’arrivée de la 3e étape, a accueilli le Tour pour la deuxième fois, après le Grand Départ 2007.

M comme météo. Le Tour s’est couru sous une météo très capricieuse, régulièrement noyé dans le brouillard et la pluie.

N comme nouveauté. Pour la première fois, les téléspectateurs ont pu se glisser dans la course avec des caméras embarquées sur les vélos.

O comme octobre. Le parcours du Tour 2015, qui partira d’Utrecht, sera dévoilé le 22 octobre.

P comme pavés. Comme attendu, le final sur les pavés du Nord -et sous la pluie- a offert un final dantesque.

Q comme quatre. Deux coureurs ont remporté quatre étapes: Vincenzo Nibali et Marcel Kittel.

R comme record. Les sept victoires d’étape de Kittel (4), Martin (2) et Greipel constituent un record pour le cyclisme allemand.

S comme secondes. Derrière Nibali, les places d’honneur se sont jouées pour une poignée de secondes (15 entre Pinot, Péraud et Valverde à 2 jours de l’arrivée).

T comme trente-sept. Jean-Christophe Péraud a décroché sa deuxième place à l’âge de 37 ans.

U comme unanimité. Le Tour a été unanimement salué comme un des plus ouverts et plus animés de ces dernières années.

V comme Vosges. Mis à l’honneur sur le tracé 2014, le massif vosgien a été le théâtre des premières échappées victorieuses (Kadri et T. Martin).

W comme Wolverine. Arrivé avec une coupe de cheveux et un vélo en hommage au super-héros Wolverine, Peter Sagan n’a pas eu la réussite espérée avec aucune victoire d’étape, mais neuf frustrantes places dans le Top 5.

X comme rayons X. Le camion radiologique du Tour a une nouvelle fois été très utilisé cette année.

Y comme Yorkshire. Le Grand Départ du Yorkshire a connu un succès populaire exceptionnel avec plusieurs millions de personnes au bord des routes.

Z comme zéro. L’Espagne termine son Tour sur un rare zéro pointé: zéro victoire d’étape, zéro coureur sur le podium et zéro maillot distinctif.

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