Le Lierse, objet de tant de désirs…

Le nouveau projet campinois avec Oosterzonen a été présenté. Mais le Lyra, aussi, est toujours sur le coup de la reprise du Lierse. Explications.

Où les fans du Lierse pourront-ils voir du foot dans le futur ? Dans le stade de Berlaar, où le club de D3 amateur K. Lira – Lierse SK va jouer avec le matricule 52 du Lyra ? Ou au Lisp, où il y a un projet pour faire jouer le KSK Lierse Kempenzonen avec le matricule 3970 d’Oosterzonen en D1 amateur, celle où évoluent notamment le RWDM et Liège ?

Depuis la faillite du Lierse et la disparition du matricule 30, on travaille dur sur les deux projets. Le premier en toute transparence avec le Lyra, juste promu de première provinciale et qui se préoccupe de près de la moitié des jeunes du Lierse. Le deuxième projet a été exposé vendredi dernier lors de la réunion annuelle des joueurs du Lierse, puis présenté publiquement au début de cette semaine. Au cours des semaines précédents, il y avait eu peu de communication sur ce projet. Volontairement, comme l’explique Roel Rymen, l’ancien team manager du Lierse :  » Les meilleurs deals se font en toute discrétion.  » Derrière ce deuxième projet, il y a l’homme d’affaires campinois Luc Van Thillo, ancien directeur général de l’Antwerp et propriétaire de l’entreprise de technologie AVT. Il y travaille avec Herwig et Stefan Van Lommel, père et fils, dirigeants d’Oosterzonen.  » Le but est de reformer un bon club en Campine, sachant que près de trois quarts des supporters du Lierse proviennent de cette province.  »

Ce club voudrait jouer au Lisp dès la saison prochaine. Un accord en ce sens a été trouvé avec Wadi Degla, propriétaire de la NV Sportstadion, en bonne partie propriétaire du stade avec la Ville de Lierre, le curateur désigné après la faillite et quelques autres petits actionnaires.

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