10 punchlines qu’on aime

 » Retourner à Sclessin pour être consultant à Standard – Charleroi, par exemple, ça ne me fait absolument rien. La page est tournée. Fini.  »

 » J’ai parfois été très cash avec des gars comme Verdier, Hanni ou Belfodil. Je les ai cassés devant tout le groupe. Sur le coup, ils croient que je ne les aime pas. Après, ils voient que je suis le même avec tout le monde. Ils comprennent que je ne critique pas l’homme mais le rendement.  »

 » Quand les supporters du Standard ont commencé à balancer des pétards pendant le match à Charleroi, je ne croyais jamais qu’on allait l’arrêter. Parce que je viens d’un pays où on n’arrête pas un match pour ça.  »

 » A Charleroi, j’ai supplié les supporters. C’était la première fois de ma vie que je suppliais quelqu’un.  »

 » J’ai encore des contacts avec Bruno Venanzi et Olivier Renard. Ça n’a pas été, tout simplement. Mais tout le monde avait envie de bien faire.  »

 » On peut se cacher et pleurer. Je ne me cache pas, je ne pleure pas.  »

 » Finalement, j’ai tiré la même conclusion que Daniel Van Buyten. Je suis parti après avoir compris que ça ne pouvait pas marcher.  »

 » Je ne cherche pas à plaire.  »

 » Le plus passionnant dans le foot, c’est qu’il n’y a pas qu’une seule vérité. Deux plus deux, ça fait trois, quatre, cinq, six. Tout le monde a raison.  »

 » Tu ne peux pas parler d’un super match quand tu fais 0-0 à la maison contre Charleroi. Un super match, tu le gagnes 5-0.  »

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