Felipe Gedoz : « Si l’Uruguay m’appelle, j’accepte! »
En lumière au Club Bruges depuis son arrivée, l’avant brésilien ne dirait pas non à l’équipe nationale uruguayenne.
Débarqué à Bruges depuis l’Uruguay, Felipe Gedoz n’oublie pas que c’est ce pays qui lui a donné sa chance dans le foot.
Juste avant de venir à Bruges, vous aviez failli être sélectionné en équipe nationale d’Uruguay. Entre-temps, vous avez été repris en équipe olympique brésilienne. Heureux d’avoir dit non à votre pays d’adoption?
L’identité, c’est une chose. La carrière sportive, c’est est une autre. Il me sera très difficile d’arriver en équipe A du Brésil, tout le monde le sait. En Uruguay, par contre… Il n’y a que trois millions d’habitants. Je ne dis pas non au Brésil mais si l’Uruguay m’appelle, j’accepte.
Etes-vous naturalisé?
Pas encore mais en mai, j’y retourne pour obtenir mon passeport. Je comprends que vous trouviez ça bizarre mais c’est l’Uruguay qui m’a fait connaître et je ne l’ai pas oublié.
Comment avez-vous vécu la Coupe du monde?
Pour notre football, ce fut un peu la honte. Pas seulement à cause du 1-7 contre l’Allemagne. Avant, déjà, ce n’était pas bon. Nous étions en stage en Argentine et nous supportions la Belgique. Pour nous, elle avait de bonnes chances de s’imposer. Mais les Allemands nous ont surpris
Par Peter T’Kint
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